Monthly Archives: juin 2012

PLU – requalification de la RN20 – Grenelle 2 – Quelle cohérence ?

 

 

Voici ce qui correspond à la zone UE de notre PLU, “la séquence urbaine de La Grange au Cercle (…) comprise entre le carrefour des Joncs Marins et la rue des Prés” décrit en p 11 phase 3 – Formalisation du schéma de référence de la RN20.

La séquence urbaine de la Grange aux Cercles s’étend sur la section comprise entre le carrefour des Joncs Marins et la rue des Prés. Il s’agit du seul centre urbain projeté destiné à s’implanter sur la RN20. Ce projet passe par le renouvellement de la quasi-totalité du bâti des rives. Le gabarit de la RN20 serait réadapté et varierait progressivement entre 40 et 33 m.

Les îlots le long de l’axe devront gagner en perméabilité avec la réalisation de venelles piétonnes du 5 à 8m de large pour permettre une aération et rendre le boulevard urbain accessible depuis les tissus existants.

L’ensemble de la séquence s’organisera autour d’une place urbaine. Son positionnement se justifie pour plusieurs raisons :  elle valorisera, tout d’abord, l’entrée de l’allée du Château en lui offrant une meilleure visibilité depuis la RN20 ; elle permet également de marquer la présence d’un carrefour important dont la fonction sert à rattacher le centre ville de La Ville du Bois à la nouvelle centralité de la Grange aux Cercles. Enfin, elle permet de créer un relâchement ponctuel du gabarit de la RN20 afin d’éviter un effet de « couloir » viaire. Les hauteurs de construction devront être rehaussées afin de donner une perspective urbaine intéressante et d’accompagner l’élargissement. Il est recommandé, pour cela, des constructions en front bâti d’une hauteur moyenne de R+3 à R+4+combles le long de l’axe.

 

 

Un planning de réalisation de la requalification est décrit en 4 phases (voir p 34/40 de la phase 3 de la formalisation du schéma de requalification)  :

– PHASE 1 correspondant à des actions à mener à court terme.

Il s’agit principalement d’études urbaines et de faisabilité. Ces dernières concernent la réalisation

ou la requalification de carrefours qui joueront un rôle essentiel dans la perméabilisation de la RN20. Des mesures conservatoires sont à prendre en compte dès la phase 1 dans la mesure où la configuration de l’axe de la RN20 sera modifiée (Elargissement sur les parties en boulevard urbain)

– PHASE 2 pour les actions à mener à moyen terme

A la différence de la phase 1 qui était majoritairement réflexive, la phase 2 se veut opérationnelle.

Les études lancées en phase 1 permettent la réalisation de travaux en 2ème phase. En ce sens, une grande partie des stations de TCSP sont réalisés. Pour que les stations soient les plus fonctionnelles possibles dès leur mise en service, les ouvrages de franchissement de la RN20 doivent être créés au niveau des stations concernées.

– PHASE 3 pour les actions à long terme

La phase 3 est semblable à la précédente, à savoir opérationnelle, mais permet de mettre en place la majorité des carrefours/d’ouvrages ayant eu une étude de faisabilité dans la 2ème phase. Il s’agit d’une phase de mise en place du linéaire de site propre au nord de la Francilienne et d’une étude du linéaire de site propre au sud de celle-ci.

– PHASE 4

Elle correspond aux dernières actions à mener à long terme et qui viennent clore les aménagements de la RN20. Il s’agit avant tout d’actions prospectives.

Les actions indiquées dans la phase 4 sont rédigées à titre indicatif. Tout le long de la réalisation du projet, des actions viendront s’ajouter au projet et des changements de calendrier seront possibles.

Nous n’avons pas vraiment vu de dates dans le document , mais rappelons que l’achèvement du TSCP est prévu en 2025.

Voici ce qui est prévu pour la phase 2 dans le secteur de La grange aux cercles :

(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

On s’attend à ce que la population passe de 1400 habitants à proximité à 6850, et que le nombre d’emplois passe de 350 à 1450.

Rappelons par ailleurs les principes du Grenelle 2 de l’environnement en matière d’urbanisme :

Renforcement des PLU3 : possibilité de fixer un calendrier d’urbanisation en fonction de la réalisation d’équipements et d’infrastructures du transport. NB : On n’urbanise que si l’on dispose des transports et des services publics nécessaires. 1 Directive territoriale d’aménagement. 2 Schéma de cohérence territoriale. 3 Plan local d’urbanisme. Le conseil municipal peut autoriser un dépassement de COS4 jusqu’à 30% si les bâtiments concernés sont particulièrement performants en matière énergétique.

A noter :” NB : On n’urbanise que si l’on dispose des transports et des services publics nécessaires”

Or en ce qui concerne les écoles sur La VIlle du Bois,  le projet de 3e école est toujours bloqué à cause de la subvention refusée par le préfet.

En ce qui concerne les transports, le trafic actuel sur la RN20 est d’environ 70 000 véhicules / jour.

Pour passer en boulevard urbain tel que décrit dans le projet de requalification , il faudrait passer à 30 000 véhicules / jour (voir le CR des assises de la RN20 , intervention de Mr Olivier Thomas)

Et pour cela le seul projet d’aménagement semble être le TCSP, soit à notre connaissance un bus, qui devrait au minimum transporter 40 000 personnes par jour.

Avec des bus articulés transportant 160 personnes, cela représente 250 trajets à répartir dans la journée en tenant compte des heures de pointe …

Est-ce seulement possible ?

Et est-ce que ces 40 000 personnes emprunteraient vraiment un bus ?

Quels sont les trajets des usagers de l’exRN20 ?

Et pour les gens qui empruntent les autres axes de circulation déjà saturés aujourd’hui ?

Et pourquoi ce seul centre urbain à La Ville du Bois ?

Nous sommes très loin des préconisations  du Grenelle de l’environnement !

 

 

Edito Juin 2012

 

La requalification de la RN 20 (suite)

Nous sommes d’accord pour que la vitrine de notre commune soit remise à neuf, et particulièrement entre le Centre Commercial Carrefour et la ZAC des Graviers, mais pas à n’importe quel prix.

Le syndicat Mixte de la RN20 a fait un appel d’offre dont l’objet est : « étude foncière de la rn20 entre Massy et Boissy-Saint-Yon. » La date de péremption de l’appel d’offre est fixée au 13 juillet 2012. Cette étude doit être réalisée sur un délai de 12 mois.

Le résultat de cette étude  a ainsi vocation à aider les élus à la prise de décision dans les choix du tracé de la RN20 et dans leur politique foncière.

Actuellement, nous sommes dans une « phase amiable », si on peut le dire, de rachat des propriétés selon un prix fixé par l’EFPIF, pour La Ville du Bois. Demain, au terme de l’appel d’offre, nous entrerons dans la phase « d’expropriation », au terme de l’étude. Et cela risque d’aller bien plus vite que prévu, puisque la requalification de la RN20 passe par la mise en place du TCSP. Pourquoi nous prévoyons l’accélération ? Parce que la mise en place finale du TCSP est prévue en 2020-2021. C’est demain, mais cela va aller très vite, et nous vous rappelons les préconisations du Grenelle II de l’environnement :

Le grenelle de l’environnement. Suite au Grenelle Environnement de 2007, le projet de loi Grenelle II[3] (sous réserve de modifications avant adoption finale) ;

  • obligera le maire à réglementer le stationnement sur les voies de site propre (TCSP)
  • permettra aux communautés de communes et communautés d’agglomérations d’organiser un service de location de bicyclettes (dans leurs compétences optionnelles).
  • permettra l’expropriation pour extrême urgence dans le cas de projets TCSP (ce qui n’était possible que pour les routes, voies ferrées et infrastructures énergétiques (oléoducs) jugées d’intérêt général.

L’objectif de tels dispositifs est souvent d’affranchir les transports en commun (qui deviennent alors des T.C.S.P. ou transports en commun sur sites propres) des gênes engendrées par les autres trafics, en supprimant les obstacles (autrement dit la congestion engendrée par la circulation des autres véhicules !).

La Zone UE est particulièrement concernée, et ce sur une distance variant de 16,5m à 20 mètres de l’axe médian de la RN20.

Vous pouvez nous contacter pour de plus amples renseignements et notre analyse si vous le souhaitez:

mail : info@bvvb.org

 

Bien sincèrement à tous.

Gérard TESSIER

Président BVVB Juin 2012

PLU – le rapport du commissaire enquêteur

En préambule, le rapport indique :

Un des problèmes majeurs de la commune de La Ville du Bois en matière d’urbanisme, et celui qui fait le plus débat à l’heure actuelle, est relatif à l’aménagement de la RN20 et de ses abords. Il s’agit d’un projet d’ampleur considérable, donc très coûteux, qui implique toutes les communes limitrophes. Il est actuellement à un stade relativement avancé mais il est évident qu’il s’étalera sur plusieurs années encore avant d’être achevé. le projet de PLU faisant l’objet de l’enquête publique prend en compte le réaménagement de la RN20 ce qui bien entendu, impose de fortes contraintes à plusieurs niveaux.

Et nous ne pouvons qu’être en accord avec cette affirmation.

Aucun incident notable ou regrettable ne s’est produit au cours de l’enquête publique.
Celle-ci, à notre avis, a relativement peu mobilisé les UrbiSylvains. 

C’est assez vrai.
Cependant BVVB s’est mobilisée, et a incité autant que possible les urbisylvains à s’exprimer. 

A propos de la lettre transmise par Gérard Tessier au nom de BVVB sont cités les points suivants (on trouvera notre courrier ici) (point 15) :

Le Président de l’association suggère plusieurs actions relatives , en particulier, à la circulation dans la ville et souhaite “qu’un plan de circulation des véhicules soit repensé pour tous les secteurs de la commune, afin d’une part, de diminuer les effets de transit de l’ex RN20, et d’assurer une circulation intra-muro en toute sécurité”. Il souhaite aussi que ” le nombre et l’implantation des places de stationnement” soient “cohérents avec les logements supplémentaires prévus”. Il propose plusieurs améliorations des transports en commun, notamment “la mise en place des navettes gratuites déjà en fonctionnement à Longjumeau, Morangis et Balainvilliers… pour améliorer “les circulations internes et de proximité”. Monsieur Tessier regrette que “le PLU ne donne pas de visibilité sur des infrastructures dédiées à l’extension d’offre de services médicaux, etc. Il souhaite aussi “que le taux e 20% fixé par la loi SRU ne soit pas dépassé ” dans la Ville. Il regrette qu’il ne soit pas fait état dans le PLU des décisions relatives au PLH adoptées en Conseil Communautaire d’Europ’Essonne le 2 février 2011″ et déclarer enfin que les règles de construction décrites pour la zone UE du PLU ne sont pas conformes au Code de la construction et de l’habitation sur les vis à vis. (articles L112-9 à L 112-11 du code de la construction et de l’habitation)”

Action du Commissaire enquêteur : Cette longue lettre, argumentée sera transmise à Monsieur le maire de la Ville du Bois en recommandant qu’une réponse soit apportée à Monsieur Tessier, au mois sur les points les plus importants et qui ne sont pas déjà documentés dans le dossier de PLU. Le CE reviendra sur certains points dans ses commentaires. Le commissaire enquêteur remarque que Monsieur Tessier, dans sa lettre, s’exprime au nom des “Urbisylvains” : il faut sans doute comprendre qu’il s’agit des Urbisylvains adhérents de l’Association BVVB qu’il dirige.

La phrase “il faut sans doute comprendre qu’il s’agit des Urbisylvains adhérents de l’Association BVVB qu’il dirige” a-t-elle sa place dans ce commentaire, qui devrait enregistrer de façon neutre les remarques d’où qu’elles viennent ?

S’agit-il de remettre en cause notre représentativité ? C’est dans l’esprit des derniers décrets relatifs à l’implication des ONG dans les projets de loi, et une façon de tuer toute forme de démocratie participative.

Ou de nous accuser de défendre l’intérêt particulier de nos adhérents ?

Et là réaffirmons l’esprit de défense de l’intérêt général voulu par notre association 

Rappelons l’article premier de nos statuts  :

L’Association dite «Bien Vivre à La VILLE du BOIS », fondée le 1er juin 2002, a pour objet de contribuer à améliorer le cadre de vie des Urbisylvains et lutter contre les nuisances de tous ordres et de rechercher et trouver en concertation avec les habitants et la municipalité, les élus concernés et responsables, les meilleurs aménagements, dans l’intérêt général.”

 

Voici dans les conclusions quelques points qui nous font réagir :

 

En point 3.1 commentaires relatifs au dossier, support de l’enquête publique :

Le commissaire enquêteur ne partage pas cet avis car le programme Local de l’Habitat (PLH), au même titre que le schéma de cohérence Territoriale (SCOT), le Plan de Déplacements Urbains (PDU) et le Schéme de Développement Commercial (SCD), sont des documents avec lesquels le PLU doit être compatible mais leur présence effective dans le dossier n’est pas obligatoire. Les objectifs du PLH ont été explicitement retranscrits dans le PLU (confirmation par le Cabinet “Espace Ville”)

Là encore pas beaucoup de transparence sur ce fameux PLH.

 

En 3.2 Commentaires relatifs à l’enquête publique proprement dite :

L’enquête publique a relativement peu mobilisé les habitants de La Ville du Bois puisqu’elle se solde par seulement 25 mentions sur le registre d’enquête publique et 7 visites de personnes souhaitant prendre connaissance du dossier. On doit cependant faire remarquer que ce projet était très bien connu des urbisylvains, puisqu’il avait fait lo’bjet , comme nous l’avons déjà fait remarquer, de réunion publiques et autres discussion au niveau communal. C’est aussi, sans aucun doute, ce qui explique que la majorité des mentions portées sur le registre aient une connotation négative : en effet, on se déplace moins facilement pour pour féliciter sa municipalité du travail accompli et/ou porter sa “pierre” à un projet collectif que pour manifester son mécontentement vis-à-vis d’une mesure susceptible d’altérer son espace de vie ou d’affecter la valeur de ses biens. cela dit, l’enquête publique portait sur un projet de PLU et c’étiat en effet une bonne occasion de faire valoir ses droits et autres opinions fussent-ils personnels et d’ordre privé.

En résumé : les gens qui se sont déplacés  sont ces bons vieux râleurs de français et pour leur intérêt strictement personnel !

Quant à l’audience des présentations du PLU  :

10 personnes ont participé à la réunion de présentation du 30 avril 2011 … dont 6 membres de BVVB !!

Donc, non, on ne peut pas dire que ce projet est bien connu des Urbisylvains.

Il n’y a rien à reprocher à la municipalité, qui a conduit normalement l’enquête publique et mis à disposition de toutes les personnes qui le demandaient les documents décrivant le PLU.

Nous avons quant à nous aussi appelé les Urbisylvains à se déplacer.

 

En 3.3 Commentaires relatifs au mentions portées sur le registre d’enquête publique :

Un point 3.3.2 est consacré à la lettre remise par Gérard Tessier au commissaire enquêteur au nom de BVVB :

La lettre émanant de l’Association ” Bien vivre à la Ville du Bois”, signée et remise par Monsieur Tessier – Président , a retenu notre attention car il est de notre expérience que les opinions émises pas ce genre d’Association ( communes dans les villes de lEssonne ayant un centre historique) sont souvent d’importance car elles collectent de nombreux avis, émanent de la “bases”, des avis peu suspects à priori de nourrir des intérêts personnels.

Jusque là, cela s’annonce plutôt bien, encore qu’on peut se demander si de tels jugements de valeurs ont leur place dans un rapport administratif.

La lettre de Monsieur Tessier se décompose en dix points parmi lesquels on peut faire remarquer :

– que les points 1 et 3 ont été pris en compte par les concepteurs du projet, comme il est évident à la lecture du dossier

Non, il ne nous paraît pas du tout évident que le caractère rural de la commune soit préservé avec des immeubles pouvant aller jusqu’à 4 étages en bordure de l’ex RN20 (point 1), ni qu’un plan de circulation ait été inclus dans le PLU .

– que le point 2, nous semble très en marge du dossier du PLU dans la mesure où l’on peut considérer que les négociations entre EPIF et les particuliers sont d’ordre privé et, de toutes façons, sans incidence sur le plan d’urbanisme. Il est curieux que cette observation figure dans cette lettre … en deuxième rang !

Rappelons le point 2 de notre courrier :

 Dans le cadre de la requalification l’EPFIF, doit racheter les biens immobiliers des propriétaires au prix estimé par les « DOMAINES », aussi bien sur le bâti habitable que sur le terrain

Il paraît à BVVB extrêmement important que les particuliers vendent leur bien à l’EPIF dans des conditions correctes, et que l’EPIF respecte les estimations des domaines.

– que le point 4 est largement hors du contrôle de la municipalité qui ne peut évidemment pas contrôler efficacement l’importance du transit sur la RN20, même après restructuration en un boulevard urbain.

En effet, c’est au niveau régional qu’il faut traiter les problèmes de circulation sur l’ex RN20. Et on peut s’interroger sur la forte urbanisation prévue avec comme seul transport en commun supplémentaire une ligne du bus dont l’achèvement est prévu en 2025 !!

– que les recommandations aux points 5 et 8 ont été adressées à la municipalité

Ces points concernaient les places de stationnement (être en cohérence avec le nombre d’appartements),  et le taux de logement sociaux (ne pas aller au-delà de la loi SRU qui exige 20%).

– que les points 6 et 7 sont, eux aussi, hors du cadre du PLU puisque de telles initiatives peuvent être mises en application à tout moment par l municipalité (Longjumeaue par exemple n’a pas encore de PLU … mais a déjà des navettes)

Le point 6 fait remarquer que les transports en commun prévus sont très insuffisants, nous persistons à penser que ce n’est pas hors sujet !

Le point 7 fait allusion aux infrastructures nécessaires en lien avec l’augmentation de population prévue, tels que crèches, services médicaux, services infirmiers, traitement des déchets. Nous ne voyons pas en quoi c’est hors sujet.

On peut aussi s’interroger sur la cohérence avec le PDU (qui doit être fait au niveau de l’intercommunalité). Le fait que Longjumeau n’ait pas de PLU est aussi surprenant. Mais peut-être que le seul aménagement prévu est la construction d’un mur anti-bruit déjà réalisé ?? !!

– que l’absence du PLH (point 9) a peu d’incidence sur le contenu du dossier puisque l’esprit de ce PLH a été pris en compte par les concepteurs du projet.

Encore une fois nous estimons qu’il y a peu de transparence sur l’ensemble des logements prévus. (voir aussi le document du syndicat mixte de la RN20, p14 ,  p27, et phase 2 p 29 population prévue à long terme dans un rayon de 400m autour de La Grange aux Cercles : 6850 Ha – pour 1400 Ha actuellement)

– que le point 10 est un point important à propos duquel l’attention de la municipalité a été attirée en insistant sur le respect des règles à appliquer dans la zone UE. 

Le point 10 concerne les vis à vis et les marges de recul, pour lesquels le code de la construction et de l’habitation n’est pas respecté.

Au total cette lettre est assez décevante de la part d’une Association et on pourrait regretter qu’aucun argument en faveur de PLU n’ait été relevé alors même que l’Association a été invitée à en discuter à de nombreuses reprises.

Nous ne comprenons pas bien cette dernière remarque, ni ce qu’elle fait dans un écrit administratif qui n’est pas censé contenir de jugements de valeur.

Nous aussi sommes assez déçus par le rapport du commissaire enquêteur, qui constitue une piètre synthèse de toutes les remarques rédigées.