Subvention Bartelottes – Erratum

Dans notre précédent article sur le projet Bartelottes, nous avons commis une erreur : ce n’est pas le Conseil Général qui devait subventionner la nouvelle école de notre commune, c’est le Conseil Régional .

Avec nos excuses à Monsieur Jérôme Cauet, notre conseiller général.

Cependant le fond reste le même : imposer la construction de logements et refuser d’aider à la construction d’une école, c’est incompréhensible !

Subvention pour l’école des Bartelottes

Voici le courrier que nous avons adressé à :

 

Monsieur Michel FUZEAU, Préfet de l’Essonne

Monsieur Jérôme GUEDJ, Président du Conseil Général de l’Essonne

                        Monsieur Vincent DELAHAYE, Sénateur de l’Essonne

                        Madame Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, Députée IV° circonscription

                        Monsieur Olivier THOMAS, Conseiller Régional de l’Essonne

                        Monsieur Jérôme CAUET, Conseiller Général Canton de Montlhéry

et en copie  Monsieur Jean-Pierre MEUR, Maire de La Ville du Bois.

Mesdames, Messieurs

Nous avons appris que le projet d’école et gymnase des Bartelottes prévu sur notre commune est compromis, en raison du refus de subvention par le Conseil Général.

Cette subvention nous serait refusée parce que la commune n’a pas respecté son engagement de construction de logements sociaux sur la période 2008-2011.

Or des logements réalisés en 2011 sur la résidence du Plessis n’ont pas été comptabilisés pour des raisons de délai administratif.

Par ailleurs, notre commune était à 4,5% de logements sociaux en 2007 et à environ 6% en 2011, alors même que selon l’insee, la population a augmenté en moyenne de 2% par an entre 1999 et 2009.

Pour l’instant, la commune prévoit de construire 137 logements, qui pourraient amener  150 enfants d’ici fin 2014.

Nos écoles sont déjà vétustes et saturées.

Nous nous trouvons donc dans la situation surréaliste de devoir construire des logements, en étant certain de ne pas pouvoir accueillir tous les enfants de la commune à l’école.

Que demande l’administration à notre commune ?

Construire des logements sociaux en quantité, sans école, sans augmentation des capacités hospitalières  à proximité, sans transport en commun prévu, alors même que les voies de circulation existantes sont saturées, et que le prix du carburant ne pourra qu’augmenter ?

Et pour quel bassin d’emploi ?

Faut-il nous résoudre à transformer notre commune en ghetto où les habitants n’auront ni travail, ni moyen de se déplacer ?

Nous ne pouvons imaginer que ce soit la volonté de nos élus, tous bords confondus.

Nous comptons sur vous pour repenser l’avenir du territoire de façon plus pragmatique.

Aider notre commune à construire une nouvelle école, dans le cadre d’un projet pluriannuel de rénovation et d’adaptation aux nouvelles populations arrivant  serait un premier pas.

Comptant sur votre soutien, nous vous prions de bien vouloir agréer, Mesdames, Messieurs , l’expression de notre haute considération.

Fête des associations – 9 septembre 2012

Cette journée ensoleillée a été bien remplie.

Nos adhérents son revenus réadhérer, nous avons enregistré un nouvel adhérent, et renseigné plusieurs visiteurs à notre stand en fournissant nos coordonnées et notre bulletin d’adhésion.

Nous avons eu des échanges avec la municipalité.

Nous ne sommes pas d’accord sur tout, mais la discussion est ouverte, et nous partageons la volonté d’alerter les élus de tout bord sur l’incohérence des projets d’aménagement du territoire en cours , ainsi que la nécessité d’un projet partagé entre les différentes institutions décisionnaires.

Les personnes qui se sont arrêtées à notre stand sont souvent venues nous demander de l’information, et ont toujours été intéressées par ce que nous leur avons présenté de ce que nous savions de la requalification de la RN20 et du PLU.

Nous avons aussi eu la visite du député suppléant Mr  Malherbe, et du conseiller régional Mr Cauet .

Notre affichage :

PLU – le rapport du commissaire enquêteur

En préambule, le rapport indique :

Un des problèmes majeurs de la commune de La Ville du Bois en matière d’urbanisme, et celui qui fait le plus débat à l’heure actuelle, est relatif à l’aménagement de la RN20 et de ses abords. Il s’agit d’un projet d’ampleur considérable, donc très coûteux, qui implique toutes les communes limitrophes. Il est actuellement à un stade relativement avancé mais il est évident qu’il s’étalera sur plusieurs années encore avant d’être achevé. le projet de PLU faisant l’objet de l’enquête publique prend en compte le réaménagement de la RN20 ce qui bien entendu, impose de fortes contraintes à plusieurs niveaux.

Et nous ne pouvons qu’être en accord avec cette affirmation.

Aucun incident notable ou regrettable ne s’est produit au cours de l’enquête publique.
Celle-ci, à notre avis, a relativement peu mobilisé les UrbiSylvains. 

C’est assez vrai.
Cependant BVVB s’est mobilisée, et a incité autant que possible les urbisylvains à s’exprimer. 

A propos de la lettre transmise par Gérard Tessier au nom de BVVB sont cités les points suivants (on trouvera notre courrier ici) (point 15) :

Le Président de l’association suggère plusieurs actions relatives , en particulier, à la circulation dans la ville et souhaite “qu’un plan de circulation des véhicules soit repensé pour tous les secteurs de la commune, afin d’une part, de diminuer les effets de transit de l’ex RN20, et d’assurer une circulation intra-muro en toute sécurité”. Il souhaite aussi que ” le nombre et l’implantation des places de stationnement” soient “cohérents avec les logements supplémentaires prévus”. Il propose plusieurs améliorations des transports en commun, notamment “la mise en place des navettes gratuites déjà en fonctionnement à Longjumeau, Morangis et Balainvilliers… pour améliorer “les circulations internes et de proximité”. Monsieur Tessier regrette que “le PLU ne donne pas de visibilité sur des infrastructures dédiées à l’extension d’offre de services médicaux, etc. Il souhaite aussi “que le taux e 20% fixé par la loi SRU ne soit pas dépassé ” dans la Ville. Il regrette qu’il ne soit pas fait état dans le PLU des décisions relatives au PLH adoptées en Conseil Communautaire d’Europ’Essonne le 2 février 2011″ et déclarer enfin que les règles de construction décrites pour la zone UE du PLU ne sont pas conformes au Code de la construction et de l’habitation sur les vis à vis. (articles L112-9 à L 112-11 du code de la construction et de l’habitation)”

Action du Commissaire enquêteur : Cette longue lettre, argumentée sera transmise à Monsieur le maire de la Ville du Bois en recommandant qu’une réponse soit apportée à Monsieur Tessier, au mois sur les points les plus importants et qui ne sont pas déjà documentés dans le dossier de PLU. Le CE reviendra sur certains points dans ses commentaires. Le commissaire enquêteur remarque que Monsieur Tessier, dans sa lettre, s’exprime au nom des “Urbisylvains” : il faut sans doute comprendre qu’il s’agit des Urbisylvains adhérents de l’Association BVVB qu’il dirige.

La phrase “il faut sans doute comprendre qu’il s’agit des Urbisylvains adhérents de l’Association BVVB qu’il dirige” a-t-elle sa place dans ce commentaire, qui devrait enregistrer de façon neutre les remarques d’où qu’elles viennent ?

S’agit-il de remettre en cause notre représentativité ? C’est dans l’esprit des derniers décrets relatifs à l’implication des ONG dans les projets de loi, et une façon de tuer toute forme de démocratie participative.

Ou de nous accuser de défendre l’intérêt particulier de nos adhérents ?

Et là réaffirmons l’esprit de défense de l’intérêt général voulu par notre association 

Rappelons l’article premier de nos statuts  :

L’Association dite «Bien Vivre à La VILLE du BOIS », fondée le 1er juin 2002, a pour objet de contribuer à améliorer le cadre de vie des Urbisylvains et lutter contre les nuisances de tous ordres et de rechercher et trouver en concertation avec les habitants et la municipalité, les élus concernés et responsables, les meilleurs aménagements, dans l’intérêt général.”

 

Voici dans les conclusions quelques points qui nous font réagir :

 

En point 3.1 commentaires relatifs au dossier, support de l’enquête publique :

Le commissaire enquêteur ne partage pas cet avis car le programme Local de l’Habitat (PLH), au même titre que le schéma de cohérence Territoriale (SCOT), le Plan de Déplacements Urbains (PDU) et le Schéme de Développement Commercial (SCD), sont des documents avec lesquels le PLU doit être compatible mais leur présence effective dans le dossier n’est pas obligatoire. Les objectifs du PLH ont été explicitement retranscrits dans le PLU (confirmation par le Cabinet “Espace Ville”)

Là encore pas beaucoup de transparence sur ce fameux PLH.

 

En 3.2 Commentaires relatifs à l’enquête publique proprement dite :

L’enquête publique a relativement peu mobilisé les habitants de La Ville du Bois puisqu’elle se solde par seulement 25 mentions sur le registre d’enquête publique et 7 visites de personnes souhaitant prendre connaissance du dossier. On doit cependant faire remarquer que ce projet était très bien connu des urbisylvains, puisqu’il avait fait lo’bjet , comme nous l’avons déjà fait remarquer, de réunion publiques et autres discussion au niveau communal. C’est aussi, sans aucun doute, ce qui explique que la majorité des mentions portées sur le registre aient une connotation négative : en effet, on se déplace moins facilement pour pour féliciter sa municipalité du travail accompli et/ou porter sa “pierre” à un projet collectif que pour manifester son mécontentement vis-à-vis d’une mesure susceptible d’altérer son espace de vie ou d’affecter la valeur de ses biens. cela dit, l’enquête publique portait sur un projet de PLU et c’étiat en effet une bonne occasion de faire valoir ses droits et autres opinions fussent-ils personnels et d’ordre privé.

En résumé : les gens qui se sont déplacés  sont ces bons vieux râleurs de français et pour leur intérêt strictement personnel !

Quant à l’audience des présentations du PLU  :

10 personnes ont participé à la réunion de présentation du 30 avril 2011 … dont 6 membres de BVVB !!

Donc, non, on ne peut pas dire que ce projet est bien connu des Urbisylvains.

Il n’y a rien à reprocher à la municipalité, qui a conduit normalement l’enquête publique et mis à disposition de toutes les personnes qui le demandaient les documents décrivant le PLU.

Nous avons quant à nous aussi appelé les Urbisylvains à se déplacer.

 

En 3.3 Commentaires relatifs au mentions portées sur le registre d’enquête publique :

Un point 3.3.2 est consacré à la lettre remise par Gérard Tessier au commissaire enquêteur au nom de BVVB :

La lettre émanant de l’Association ” Bien vivre à la Ville du Bois”, signée et remise par Monsieur Tessier – Président , a retenu notre attention car il est de notre expérience que les opinions émises pas ce genre d’Association ( communes dans les villes de lEssonne ayant un centre historique) sont souvent d’importance car elles collectent de nombreux avis, émanent de la “bases”, des avis peu suspects à priori de nourrir des intérêts personnels.

Jusque là, cela s’annonce plutôt bien, encore qu’on peut se demander si de tels jugements de valeurs ont leur place dans un rapport administratif.

La lettre de Monsieur Tessier se décompose en dix points parmi lesquels on peut faire remarquer :

– que les points 1 et 3 ont été pris en compte par les concepteurs du projet, comme il est évident à la lecture du dossier

Non, il ne nous paraît pas du tout évident que le caractère rural de la commune soit préservé avec des immeubles pouvant aller jusqu’à 4 étages en bordure de l’ex RN20 (point 1), ni qu’un plan de circulation ait été inclus dans le PLU .

– que le point 2, nous semble très en marge du dossier du PLU dans la mesure où l’on peut considérer que les négociations entre EPIF et les particuliers sont d’ordre privé et, de toutes façons, sans incidence sur le plan d’urbanisme. Il est curieux que cette observation figure dans cette lettre … en deuxième rang !

Rappelons le point 2 de notre courrier :

 Dans le cadre de la requalification l’EPFIF, doit racheter les biens immobiliers des propriétaires au prix estimé par les « DOMAINES », aussi bien sur le bâti habitable que sur le terrain

Il paraît à BVVB extrêmement important que les particuliers vendent leur bien à l’EPIF dans des conditions correctes, et que l’EPIF respecte les estimations des domaines.

– que le point 4 est largement hors du contrôle de la municipalité qui ne peut évidemment pas contrôler efficacement l’importance du transit sur la RN20, même après restructuration en un boulevard urbain.

En effet, c’est au niveau régional qu’il faut traiter les problèmes de circulation sur l’ex RN20. Et on peut s’interroger sur la forte urbanisation prévue avec comme seul transport en commun supplémentaire une ligne du bus dont l’achèvement est prévu en 2025 !!

– que les recommandations aux points 5 et 8 ont été adressées à la municipalité

Ces points concernaient les places de stationnement (être en cohérence avec le nombre d’appartements),  et le taux de logement sociaux (ne pas aller au-delà de la loi SRU qui exige 20%).

– que les points 6 et 7 sont, eux aussi, hors du cadre du PLU puisque de telles initiatives peuvent être mises en application à tout moment par l municipalité (Longjumeaue par exemple n’a pas encore de PLU … mais a déjà des navettes)

Le point 6 fait remarquer que les transports en commun prévus sont très insuffisants, nous persistons à penser que ce n’est pas hors sujet !

Le point 7 fait allusion aux infrastructures nécessaires en lien avec l’augmentation de population prévue, tels que crèches, services médicaux, services infirmiers, traitement des déchets. Nous ne voyons pas en quoi c’est hors sujet.

On peut aussi s’interroger sur la cohérence avec le PDU (qui doit être fait au niveau de l’intercommunalité). Le fait que Longjumeau n’ait pas de PLU est aussi surprenant. Mais peut-être que le seul aménagement prévu est la construction d’un mur anti-bruit déjà réalisé ?? !!

– que l’absence du PLH (point 9) a peu d’incidence sur le contenu du dossier puisque l’esprit de ce PLH a été pris en compte par les concepteurs du projet.

Encore une fois nous estimons qu’il y a peu de transparence sur l’ensemble des logements prévus. (voir aussi le document du syndicat mixte de la RN20, p14 ,  p27, et phase 2 p 29 population prévue à long terme dans un rayon de 400m autour de La Grange aux Cercles : 6850 Ha – pour 1400 Ha actuellement)

– que le point 10 est un point important à propos duquel l’attention de la municipalité a été attirée en insistant sur le respect des règles à appliquer dans la zone UE. 

Le point 10 concerne les vis à vis et les marges de recul, pour lesquels le code de la construction et de l’habitation n’est pas respecté.

Au total cette lettre est assez décevante de la part d’une Association et on pourrait regretter qu’aucun argument en faveur de PLU n’ait été relevé alors même que l’Association a été invitée à en discuter à de nombreuses reprises.

Nous ne comprenons pas bien cette dernière remarque, ni ce qu’elle fait dans un écrit administratif qui n’est pas censé contenir de jugements de valeur.

Nous aussi sommes assez déçus par le rapport du commissaire enquêteur, qui constitue une piètre synthèse de toutes les remarques rédigées.

 

 

Projet d’Ecole Les Bartelottes

Le projet était annoncé dans Le Républicain au mois de mai :

On trouve quelques détails sur le site de Nomades architectes

Mais lors de la présentation du budget au Conseil Municipal du 20 mars, il a été dit que la subvention du Conseil Général pour ce projet était remise en cause parce que nous n’atteignons pas le taux de 20% de logements sociaux exigé par la loi SRU pour les communes de plus de 1500 ha en Ile de France, incluses dans une agglomération de plus de 50 000 ha et comprenant au moins une commune de plus de 15 000 ha.
Cette obligation s’applique au niveau intercommunal, lorsqu’un programme local de l’habitat a été approuvé.

Or nos écoles sont vétustes, les classes de nos enfants surchargées.

Quel est l’intérêt de cette sanction ?

Au final ce sont les enfants qui en paient les conséquences. C’est absurde.

Et si nous regardons l’évolution de notre commune et des communes limitrophes de la RN20, nous n’entrons pas tout à fait dans la catégorie d’une agglomération comprenant une ville de plus de 15000 habitants :

Sauf qu’aujourd’hui, nous faisons partie d’Europ Essonne.

Et nous voici intégrés à une agglomération de 130 000 ha (chiffres 2009), comprenant Massy (40 000 ha) et Lonjumeau (qui comptait 21000 ha environ en 2006)…

D’après les documents d’Europ’Essonne, le nombre d’habitants a augmenté entre 1999 et 2009 de plus de 2% à La Ville du Bois, pour un taux de 0,9% sur le territoire.

Et voici ce qu’on lit sur les documents d’Europ’Essonne sur la répartition des logements sociaux au sein de la communauté de communes :

Quel sens cela a-t-il de comparer La Ville du Bois avec des villes telles que Massy , Longjumeau ou Chilly Mazarin, qui sont désservies par le RER et un important réseau de bus ?

Dans les années 70 et 80, on venait s’installer à La Ville du Bois parce que les logements y étaient peu chers, justement à cause de cet éloignement des transports en commun.

Personne ne discute la nécessité de construire des logements , mais est-ce pertinent de sanctionner notre commune en empêchant la construction d’une école ?

A propos de la déchèterie (suite)

Il y a quelques temps nous nous interrogions ici sur le changement de déchèterie accessible aux urbisylvains.

Voici la réponse que nous avons obtenue de notre Maire :

“La compétence “ordures ménagères” a été transférée au SIRM depuis de nombreuses années.

Dans ce cadre, le Syndicat a lancé une consultation pour l’accueil des usagers en déchèterie. Un marché a été signé avec le SIOM de la Vallée de Chevreuse mais au regard des obligations du code des Marchés Publics et des procédures à respecter, la prestation ne pouvait débuter qu’à compter du 01 octobre 2011. Les usagers peuvent, depuis, se rendre à la déchèterie qui se situe à VILLEJUST, ce qui peut paraître effectivement moins pratique pour les usagers de LA VILLE DU BOIS.

Cependant, ce prestataire propose un service qui correspond au cahier des charges et pour un montant moins élevé, que le SIREDOM. Le système de contrôle d’accès à l’ancien réseau de déchèterie n’était pas satisfaisant et le mode de facturation du SIREDOM ne permettait pas de définir assez précisément la part réellement imputable aux usagers du SIRM. Le SIRM devait faire face à des factures très importantes et non contrôlées.”

L’échange de courriers :
Courrier adressé en Mairie par BVVB au sujet de la déchèterie
Réponse de la Mairie

PLU : Voie des Postes

Voici une image qui a été présentée dans le cadre du PLU sur l’urbanisation prévue dans le périmètre rue des Cailleboudes, RN20, rue de Gaillard, voie des Postes.
Sur cette zone là , aujourd’hui on dénombre environ 30 personnes, mais en calculant les occupants des immeubles qui semblent prévus, on arrive sur la même zone à environ 200 personnes (en comptant 2 adultes par logement, donc sans compter les enfants)


Un examen plus détaillé, et une comparaison avec le POS actuel sur cette zone fait apparaître  des différences de règles de construction notamment sur :
– la hauteur des bâtiments autorisée
– les fenêtres en vis à vis
– le % de surface constructible

Est-ce conforme à la loi ? 

On a vu de belles images, mais on s’interroge :

  • Quelle hauteur auront  les immeubles ?
  • Comment sera conservé le caractère rural de notre commune ?
  • Comment les gens arriveront-ils à sortir de leur immeuble le matin pour aller travailler, alors que déjà aujourd’hui, la rue des Cailleboudes est bloquée ?
  • Quel sera le taux de logements sociaux dans ce petit espace ?
  • Le trafic de la RN20 sera-t-il diminué?

Les registres de l’enquête publique sont ouverts jusqu’au 30 novembre 12h

EXPRIMEZ VOUS !!

La déchèterie des urbisylvains

 

Nous avons appris récemment via la Feuille du Bois que nous devions maintenant emporter nos déchets à la déchèterie de Villejust qui fait partie du SIOM Vallée de Chevreuse.

 

 

Cliquer sur la carte pour accéder aux pages jaunes correspondant

Dernièrement, nous pouvions lire dans Le Républicain de L’Essonne que le Syndicat Intercommunal de la Région de Montlhéry (SIRM), qui regroupe les communes de Montlhéry, Linas, Longpont-sur-Orge et La Ville-du-Bois, était en froid avec le SIREDOM.

Le différent entre les deux entités était lié selon le SIRM, à des dépôts abusifs insuffisamment contrôlés et facturés au SIRM.

D’après l’article du Républicain de l’Essonne du mois de mai, le différent était réglé.

Nous sommes donc assez étonnés de devoir aller porter nos déchets à Villejust.

Nous aimerions des précisions de notre municipalité sur les raisons de ce changement

En regardant les cartes d’intervention respectives du SIOM et du SIREDOM, qui sont aussi des syndicats intercommunaux, nous trouvons cette organisation bien compliquée


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PLU – l’enquête publique débute le 24 octobre 2011

Le PLU, projet majeur pour notre commune est en cours de construction.
(pour information voir aussi la page wikipédia PLU mise à jour le 30/09/11)

Un dépliant informatif est arrivé aujourd’hui dans nos boîtes aux lettres.

 

L’enquête publique aura lieu du 24 octobre au 30 novembre 2011.

Des registres sont mis à la disposition des Urbisylvains afin qu’ils rédigent leurs avis et observations

à la Direction des Services Techniques , 20 rue Ambroise Paré

aux horaires d’ouverture des services.

L’ensemble des pièces du PLU drevrait être consultable.

Le commissaire enqueteur sera présent lors de 4 permanences :

– 3 novembre de 14h à 17h

– 19 novembre de 9h à 12h

– 25 novembre de 9h à 12h

– 30 novembre de 9h à 12h

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