Edito Octobre 2023 : circuler à pied

En septembre dernier, le collectif “Place aux piétons” qui regroupe  la FFRandonnée, Rue de l’Avenir 60 millions de piétons et le Club des villes et territoires cyclables et marchables (CVTCM) a présenté à la presse les résultats d’une enquête réalisée en ligne entre novembre 2022 et mars 2023 afin de recueillir leur ressenti sur la marchabilité de leur commune.

70 000 personnes ont répondu et plus de 230 villes ont ainsi été évaluées.

Nous reprenons ici les principales conclusions publiées dans le dossier de presse en lien 

Les principaux résultats sont résumés dans l’infographie ci-dessous :

D’une façon générale, le taux de satisfaction est assez faible.

Les principales critiques :

 

Les propositions de solutions :

A noter dans cette enquête la bonne performance de la ville de Magny – les Hameaux, commune d’Ile de france de 9400 habitants, qui a obtenu le score de 14,59 sur 20.

Et à La Ville-du-Bois ?

Il y a eu 2 réponses d’urbisylvains à cette enquête, agrégées dans les réponses des communes de 5000 à 19999 habitants de l’Essonne.

 

Les aménagements 

Concernant les aménagements, dans certains espaces de la commune, des bancs sont à la disposition des passants, notamment place Beaulieu, ou le long de la voie du 8 mai 1945.

Des toilettes sont accessibles au centre commercial Carrefour, ainsi que chez Truffaut.

Celles du parc pour enfants de la place Beaulieu sont fermées (peut-être pour être rénovées d’ici le printemps ?) . Curieusement, le seul café de la commune affiche en permanence des toilettes hors service.

Et contrairement à de nombreux villages de France, pas de toilettes derrière l’église! Mieux vaut donc ne pas être pris d’un besoin pressant au centre du village.

 

La sécurité 

Le passé rural de notre commune est encore visible dans la configuration des rues peu adaptée à la circulation des véhicules. Comme partout en France, les véhicules à moteur se sont imposés et occupent largement un espace que nombre de riverains voudraient voir mieux partagé avec les cyclistes et les piétons. Dans ce contexte de cohabitation , il est logique que la vitesse soit limitée à 30km/h sur toute la commune, ce qui est parfaitement signalé en entrée de ville.

Et c’est plutôt bien : rappelons les distances d’arrêt selon les types de véhicule par temps sec : (source : Cerema – Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables – Mise à jour janvier 2020 – Fiche n°1)

Et d’une façon générale, les aménagements routiers de notre commune sont conformes aux recommandations en vigueur. Au fil des années, diverses chicanes et ralentisseurs ont été installés.

Malgré cela, des riverains se plaignent du non respect des stops (notamment celui à l’angle de l’allée Victor Hugo et du chemin des Erables), ainsi que de la vitessse excessive, surtout aux heures de forte circulation, comme le soir après 17h.

Voir ci-dessous un cumul de relevés (non -exhaustif) réalisé en avril-mai 2022

Un passage piéton en trompe l’oeil donnant l’impression d’un obstacle sur la route, pourrait sembler un bonne idée pour inciter les automobilistes à modérer leur vitesse .

Mais le dessin des passages piétons est réglementé, et après des aménagements tests réalisés en 2018, le Cerema s’est prononcé pour le maintien de la réglementation en vigueur, ces dispositifs s’étant révélés assez chers (coût pour un dispositif posé par le fabricant de 2000 à 6000 Euros contre 250 à 510 Euros pour un passage piétons classique) , et demandant un entretien plus fréquent (tous les 6 mois au lieu de tous les 2,5 ans), car pour que l’effet visuel fonctionne, il faut que la peinture soit bien visible. L’effet n’est pas non plus identique selon la vitesse et la position de conduite. (voir bilan de synthèse réalisé par le Cerema à l’attention du Ministère de l’Intérieur).

On voit aussi souvent aux abords des écoles des silhouettes d’écolier. Beaucoup d’entre nous avons certainement expérimenté, que même si on sait qu’il sagit de mannequins, la perception fugace d’un enfant s’apprêtant à traverser aiguise l’attention et incite à ralentir.

Comme on ne peut pas mobiliser des représentants des forces de l’ordre à chaque coin de rue, ce type de dispositif nous paraît intéressant , et s’ils sont balbutiants, méritent d’être approfondis. (Le rapport du Cerema n’explique pas vraiment l’écart de coût des passages piétons tridimensionnels, et c’est peut-être comme comparer le coût d’un prototype au coût d’une réalisation en série).

 

Dans certaines communes, comme par exemple à Chateaufort, le trafic hors commune est régulé par un système de fermeture de la route que seuls les riverains peuvent ouvrir.

Cela afin d’éviter la traversée du village par des véhicules qui veulent éviter les bouchons de la D36 voisine.

 

 

 

Un autre point qui divise : l’éclairage . La municipalité a fait le choix d’éteindre l’éclairage nocturne entre 23h et 6h du matin, afin de réaliser des économies, ce que nous approuvons. Mais pour les piétons contraints de se déplacer de nuit, cela génère un sentiment d’insécurité.

A Longpont sur Orge, depuis 2021, les habitants ont la possibilité d’allumer lorsque nécessaire l’éclariage public, comme en témoigne cette vidéo du journal Le Parisien.

Dans un article du journal Libération d’octobre 2022, il est mentionné, qu’une quinzaine de communes étaient équipées de tels systèmes, et que 150 souhaitaient le tester. On lit aussi dans l’article que selon le maire de Longpont sur Orge,

“Coût de l’installation pour la commune : 390 euros par armoire électrique, soit près de 8 600 euros pour les 22 armoires électriques équipées de Longpont-sur-Orge, auxquels s’ajoute un abonnement annuel de 1 500 euros. «Pour remplacer ce dispositif, il faudrait mettre des détecteurs de mouvement mais cela impliquerait d’équiper chaque point lumineux, ce qui est technique et lourd»”

La seule limitation est qu’il faut disposer d’un téléphone portable.

Autant de possibilités d’améliorations que nous aimerions voir chez nous.

Nos sentes : un atout pour la commune

Notre commune dispose d’un patrimoine permettant de se déplacer agréablement : beaucoup de sentes qui relient entre elles diverses rues et évitent d’être confronté à la circulation automobile. Lorsqu’elles sont bien entretenues, elles offrent la possibilité de se déplacer en toute sécurité, notamment pour les enfants. On trouvera ci-dessous un plan indiquant les sentes accessibles (points verts) et inaccessibles (points orange) . En faisant passer le souris sur le point on voit apparaître une photo prise à cet endroit.
NB les photos ont été prise dans le courant du mois d’octobre, l’état de chaque sente peut évoluer.

Pour voir cette carte en plein écran cliquer ici 

Certaines sentes sont en mauvais état, alors qu’elles étaient accessibles il y a peu, comme par exemple la sente des Joncs Marins située entre la rue du Presbytère et le Chemin du Plateau :

Le sentier de la Brisarde, bien visible au cadastre, entre le chemin des Bas Rochers et le Vieux Chemin de Montlhéry semble avoir été totalement oublié. Il est vrai que pour rejoindre l’école des Renondaines, il est préférable de suivre le chemin des Bas Rochers jusqu’au Chemin des Renondaines qui aboutit à la porte de l’école.

Ce serait bien sûr à discuter avec les riverains. Cerains nous ont rapporté que des personnes viennent se droguer ou s’alcooliser dans la sente voisine de leur maison, ce qui ne les encourage pas à entretenir leur clôture.

Nous avons observé que le sentier des Fosses Rondes a été récement nettoyé : c’est une belle promenade pour aller à la maison culturelle.

Pour favoriser la marche à pied, notre commune ne manque pas d’atouts. Des solutions sont à optimiser en concertation avec les urbisylvains pour inciter chacun à respecter le bien-être de tous.

 

Edito Juin-Juillet 2023 : urbanisation

Quel est le problème ?

Les experts en climatologie sont unanimes : l’été 2022 qui nous a paru exceptionnel en vagues de chaleurs , feux et innondations sera un été moyen dans un futur plus proche qu’on ne le pensait.

En effet, les derniers rapports du GIEC indiquent que le seuil de +1,5 °C à l’échelle de la planète sera atteint d’ici 2030. Au niveau mondial, sur la dernière décennie 2011-2020, le réchauffement climatique a atteint 1,1°C  par rapport à l’ère préindustrielle. En France métropolitaine, le réchauffement climatique a déjà atteint 1,7°C par rapport à l’ère préindustrielle sur la dernière décennie, dont 1,5°C depuis les années 1960, avec une hausse plus forte l’été.

Aujourd’hui, même le Ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion des territoires communique sur les phénomènes constatés à l’été 2022 : 

Parmi les problèmes auxquels nous serons confrontés figure le phénomène d’îlots de chaleur en ville : les zones complètement artificialisées, où il n’y aura que des bâtiments sans végétation seront invivables.

Récemment, des articles de presse sont parus sur le record de mortalité prévu à Paris en cas de canicule.
Cette vidéo diffusée par Courrier International résume la situation et évoque les difficultés à agir .

L’artificialisation des sols concerne toute la France, et est particulièrement importante dans les zones où la population a migré : sur les zones littorales, et en périphérie des centres urbains, en raison soit de l’attractivité des lieux, soit des prix trop élevés des logements ailleurs.

L’objectif est donc de limiter l’artificialisation des sols , voir des désartificialiser.

Selon la loi “Climat et résilience”  LOI n° 2021-1104 du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets (1) – Légifrance (legifrance.gouv.fr) 

Afin d’atteindre l’objectif national d’absence de toute artificialisation nette des sols en 2050, le rythme de l’artificialisation des sols dans les dix années suivant la promulgation de la présente loi doit être tel que, sur cette période, la consommation totale d’espace observée à l’échelle nationale soit inférieure à la moitié de celle observée sur les dix années précédant cette date.
Ces objectifs sont appliqués de manière différenciée et territorialisée, dans les conditions fixées par la loi.

Cas particulier de l’Ile de France :

Article 194 Modifié par LOI n°2022-217 du 21 février 2022 – art. 114  IV.-Afin d’assurer l’intégration des objectifs de lutte contre l’artificialisation des sols et de réduction de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers :

4° Si le schéma directeur de la région d’Île-de-France en vigueur ne prévoit pas les objectifs mentionnés au dernier alinéa de l’article L. 123-1 du code de l’urbanisme, son évolution doit être engagée dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi. Cette évolution peut être réalisée selon la procédure de modification définie à l’article L. 123-14 du code de l’urbanisme. L’entrée en vigueur du schéma directeur de la région d’Île-de-France prévoyant ces objectifs doit intervenir dans un délai de trente mois à compter de la promulgation de la présente loi ;

Le Schéma directeur Ile-de-France a été adopté le 12 Juillet 2023, mais nous n’avons pour l’instant rien vu qui prenne en compte précisément cet objectif.

Il est intéressant de noter parmi les mesures phares du Plan régional d’adaptation au changement climatique :

Quand on sait que les vagues de chaleur seront accompagnées de sécheresse, et que les piscines de Longjumeau et Montlhéry – qui étaient les plus proches de La Ville-du-Bois – ont été fermées, cette disposition ne promet pas d’être très efficace !

Rappel : notre commune est en alerte sécheresse depuis mi-juin 2023 avec interdiction de laver les véhicules, d’arroser les jardins et potagers entre 8h et 20h , d’alimenter les fontaines d’ornement,etc .. (voir Sécheresse : état d’alerte et de vigilance en Essonne – Actualités – Les services de l’État dans l’Essonne

Et à La Ville-du-Bois ?

L’agence régionale de la biodiversité de l’Institut Paris Région diffuse des cartographies des zones exposées au risque d’ilot de chaleur, ainsi que d’exposition des populations à ce risque. 

Sans surprise, les immeubles en bordure de RN20 apparaissent comme des zones de risque d’exposition moyenne, et les zones urbanisées comme zones de vulnérabilité.

On peut aussi trouver la consommation annuelle d’espace pour la commune et l’objectif de consommation qui en découle pour 2021-2030 : 5,3 ha consommés sur la période 2011-2020, et un objectif de 0,2 à 0,3 ha/an d’ici à 2030 selon les objectifs qui seront effectivement fixés pour la région. (voir Rapport consommation (beta.gouv.fr) )

La Ville-du-Bois est plutôt mieux placée que les communes voisines. 

Cependant, si on regarde l’historique des vues satellites 2006-2010 versus aujourd’hui sur la commune, ainsi que l’historique des vues google view, on ne peut que constater la tendance à la destruction des arbres, et à une “minéralisation” à 100% à l’occasion des reventes des pavillons. 

En voici quelques illustrations (loin d’être exhaustives !)

Vues aériennes 2006-2010 et aujourd’hui vers le 137 rue des Joncs Marins

Vues diverses montrant la destruction d’espaces verts au fil du temps

La construction de nouvelles surfaces commerciales ne fait pas exception :

Cela fait beaucoup d’arbres abattus. 

Et c’est contraire aux recommandations actuelles pour lutter contre les îlots de chaleur urbaine.

Parmi les règles d’or du Cerama pour mieux végétaliser nos villes (Cf. Planter sans se planter : 7 règles d’or pour bien végétaliser nos villes et les garder au frais | Cerema ):

7. GARDONS NOS VIEUX ARBRES !

Il faut vingt, voire trente ans pour qu’un arbre soit au top de ses performances écosystémiques. Nos vieux arbres sont des trésors… Avant d’en planter de nouveaux, prenons déjà soin de notre patrimoine existant.

 

Voici pourtant ce qu’on peut lire dans le Plan Local d’Urbanisme de la commune  de Juillet 2019 

Les projets de construction devront être étudiés dans le sens d’une conservation maximale des arbres existants.

Afin de préserver la biodiversité et les écosystèmes locaux, la plantation d’essences végétales locales ou indigènes devra être privilégiée au détriment d’espèces exotiques potentiellement invasives .

Afin de ne pas accentuer l’imperméabilisation des sols, il convient de privilégier, pour les espaces libres de touts construction hors espaces de pleine terre (espaces de circulation, de stationnement), les espaces minéraux sablés, dallés ou pavés de préférence aux espaces bitumés ou enrobés (ces espaces, bien que perméables, ne sont pas inclus dans la superficie des espaces verts de pleine terre).

Il est de plus exigé qu’ “une part minimum de la superficie des espaces libres de toute construction doit être conservée en espace vert de pleine terre”.

Cette part est de 
20% en zone UCV (centre ville)
25% en zone UE (abords de la RN20)
45% en zone UR ( résidentielle pavillonaire)
20% en zone UAE (zone d’activité économique)

Ces exigences sont-elles respectées pour tous les permis de construire délivrés depuis 2019 ?

Bon à savoir 

Dès qu’un permis de construire est affiché, tout riverain “ayant un intérêt à agir”, c’est à dire en mesure de  prouver que la construction ou l’aménagement autorisé a des conséquences directes sur les conditions d’occupation, d’utilisation ou de jouissance du bien qu’il occupe ou qu’il détient, a 2 mois pour le contester. (voir Contestation d’une autorisation d’urbanisme | Service-public.fr )

 

Pour aller plus loin 

Un podcast en libre accès réalisé par le journal Le Monde Podcast. Climat : la France est-elle prête à faire face au réchauffement ? (lemonde.fr)

Portail de l’artificialisation des sols du Ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion des territoires Portail de l’artificialisation des sols | Portail de l’artificialisation (developpement-durable.gouv.fr)

Dossier ADEME Végétaliser : Agir pour le rafraîchissement urbain – La librairie ADEME

Ressources Météo France Comprendre le climat | Météo-France (meteofrance.com)

 

 

 

Edito Janvier 2022 : le désert médical

Au cours de l’année 2021, la désertification médicale s’est accentuée pour les urbisylvains avec le départ du Dr Rodriguez. Il ne reste donc plus qu’un seul médecin à la maison médicale de la Grande Rue. Des maisons médicales ont ouvert à Nozay et à Montlhéry.
Tous les urbisylvains se demandent pourquoi les communes voisines parviennent à proposer une offre de soin de qualité, et pas notre commune.

En parcourant les annonces de recherche de médecin, on voit de nombreuses communes proposer des loyers réduits, voire l’absence de loyer, ou la prise en charge d’un service de secrétariat.
L’offre de notre commune est-elle assez attractive ? :

« La mairie de La Ville du Bois (91 – Essonne) recherche des médecins généralistes pour compléter son cabinet médical (départ d’un médecin généraliste).

Cabinet médical de groupe, récemment rénové, situé en centre-ville (58 Grande Rue)
Entretien effectué par la mairie
Loyer 460€/mois environ (charges comprises) »

 

Au-delà de notre commune, l’Essonne fait partie des départements où le nombre de médecins généralistes pour 10 000 habitants est entre 10,87 et 13,20 : (cf. Carte de la densité des professionnels de santé en France – data.gouv.fr et .Atlas de l’implantation des professionnels de santé en France – C&D Online (articque.com) )

Si on regarde les données INSEE à l’échelle de la commune et des communes avoisinnantes :

nous sommes avec Longpont sur Orge et Linas, les plus mal lotis, et au-dessous des plus faibles densités départementales affichées au niveau national  de 8,21 pour 10 000 habitants.

Pourtant du point de vue de l’ARS, La Ville du Bois ne fait pas partie des Zones d’intervention prioritaires et ne peut donc prétendre à une aide régionale pour l’installation de médecins. (cf L’ARS Île-de-France étend significativement les territoires éligibles aux aides à l’installation des médecins | Agence régionale de santé Ile-de-France (sante.fr)

En naviguant sur le site de l’ARS Ile-de-France, nous apprenons que La Ville du Bois est incluse dans une “Communauté professionnelle territoriale de santé”  Coeur Santé Orge Yvette, depuis février 2020, dont l’état d’avancement est “Ingénierie de projet en cours”.

(cf. CPTS et projets de CPTS au 28/12/2021 (santegraphie.fr) )

Nous comprenons que l’organisation des  “CPTS” est laissée à l’intiative des professionels de santé, et que le problème sur notre territoire est surtout qu’ils ne sont pas assez nombreux.

Il est urgent de proposer des solutions attractives pour les médecins sur notre territoire.

C’est notre voeux prioritaire pour 2022.

 

 

 

Edito Octobre 2021

La Ville-du-Bois 

 

Les réseaux sociaux se font l’écho de problèmes récurrents de connexion internet avec la fibre, dont l’installation et la fiabilité sont très erratiques.

La commune a mis en place sur son site un formulaire de signalement de dysfoncionnement en lien ici

Un article dans La feuille du Bois rapporte l’action de l’agglomération Paris-Saclay auprès des opérateurs concernés , suite aux mécontentements exprimés sur plusieurs communes.(voir en lien le communiqué de Paris-Saclay)

A suivre …

 

Les avions qui survolent notre commune continuent de se faire entendre. Une consultation publique dans le cadre du Plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement a été cloturée le 25 octobre.  L’association DRAPO a recuilli 5560 commentaires.

 

La fédération française des usagers de la bicyclette organise une campagne d’évaluation sur la facilité à circuler à vélo dans les communes. Le questionnaire est ouvert jusqu’au 30 novembre

 

Vu sur la toile :

Des recommandations émanant de la délégation aux collectivités territoriales du sénat pour luttuer contre les déserts médicaux : Déserts_médicaux_Essentiel (senat.fr)

La reprise du fret ferroviaire entre Perpignan et Rungis : Fret ferroviaire : le train des primeurs entre Perpignan et le marché de Rungis sera remis en route vendredi (francebleu.fr)

Emmanuelle Wargon, ministre du Logement a présenté sa feuille de route : Le ministère du Logement dévoile ses idées pour habiter la France de demain (actu-environnement.com)

Tandis que Barbara Pompilli, ministre de la Transition écologique, a présenté des actions pour améliorer la prise en compte des risques environnementaux. Culture du risque : Barbara Pompili présente sa feuille de route (actu-environnement.com)

Un article sur la mise en concurrence progressive des transports en Ile-de-France : En Ile-de-France, la difficile bascule de transports vers la concurrence (lemonde.fr)

Courant octobre, à Nozay, la mairie retransmettait en ligne une réunion de quartier : ce qui prouve que c’est possible !
(2) Facebook

Un label lancé par l’Agence de la transition écologique ADEME  : L’Ademe lance le label Vertvolt pour faire le tri dans les offres d’électricité verte (actu-environnement.com)

 

 

Edito Septembre 2021

Au cours de ce mois de septembre, que ce soit sur les réseaux sociaux ou par les courriels que nous avons reçus, les urbisylvains s’inquiètent de la difficulté à trouver un médecin référent alors que de nombreux médecins arrêtent leur activité. Dans les villes avoisinantes, se construisent des maisons de santé, où il est possible de trouver une consultation d’urgence qui ne relève pas de l’hôpital. 

 

La réponse du département à la désertification médicale publiée dans le dernier journal “Essonne et Vous” est assez surprenante : des cabines de téléconsultation se sont ouvertes à Evry et à Brétigny.

Pas sûr que cela réponde aux besoins d’une population à la fois vieillissante et en augmentation !

 

 

 

Autre sujet de préoccupation : les modifications de trajectoire des avions que nous entendons beaucoup plus.

A titre d’exemple nous avions relevé au mois de Juillet la trajectoire d’un vol parti d’Orly à 12h16, qui a transité au-dessus de La Ville-du-Bois en pleine accélération.

Sur les données issues du site Vitrail | Visualisation des trajectoires des avions (entrevoisins.org), on voit que cet avion passe de 300 km/h à 375 km/h en passant au-dessus de La Ville-du-Bois.

Les données du site https://fr.flightaware.com montrent qu’il s’agit d’un vol à destination de Toulouse et la courbe jaune à droite ci-dessous confirme bien qu’il passe en pleine accélération au dessus de La Ville-du-Bois, ce que nous percevons comme très bruyant.

Par ailleurs, les urbisylvains découvrent souvent des travaux de voirie, perturbant de façon importante la circulation et alors que peu d’informations ont disponibles sur les raisons et la durée des travaux. 

Les déboires de raccordement à la fibre font aussi partie des “irritants” …

Notre association a pour but de faire entendre aux élus et aux administrations les aspirations de tous à une meilleure qualité de vie. Notre assemblée générale se tiendra le samedi 16 octobre de 9h30 à 11h30 au Foyer des Anciens. Le pass sanitaire sera exigé, ainsi qu’une cotisation minimale de 6 Euros pour participer aux votes.
(voir notre aussi notre plaquette)

contact : bienvivrelvdb@gmail.com

Edito Juillet 2021

A La Ville-du-Bois

Nous nous étonnons de la construction de deux nouveaux bâtiments de commerces à coté du parking de Truffaut en bordure de RN20, alors que de nombreux magasins sont fermés dans le Centre Commercial Carrefour, étendu en 2006 de 22 000 m2 à 55 000 m2

surface végétalisée perdue (source www.geoportail.gouv.fr)

Ces nouvelles surfaces commerciales feront disparaître 4600 m2 de surface végétalisée pour 5400 m2 de surface commerciale.

Encore une artificialisation supplémentaire des sols, alors que pour lutter contre le réchauffement climatique les risques inondation et améliorer la qualité de l’air, il faudrait plutôt planter des arbres , à fortiori en bordure d’un axe routier à fort trafic tel que la RN20.

 

 

Concernant les inondations survenues sur la commune le 19 juin dernier, le phénomène n’est pas nouveau : 50 cm d’eau avaient été observés le 17 juin 1905 dans la Grande Rue.

D’importants travaux de réfection des canalisations ont pourtant été réalisés en 2017 et 2018.

 

A noter que la compétence de voirie est aujourd’hui assumée par la Communauté Paris-Saclay, alors que l’assainissement dépend à la fois du Syndicat de l’Orge et du Syndicat de l’Yvette, ce qui ne simplifie sans doute pas les processus de décision.

Comme dans beaucoup de communes en France, l’artificialisation des sols a été importante à la Ville-du-Bois. C’est une tendance très française. (Selon l’article du journal Alternatives Economiques intitulé “Peut-on arrêter de bétonner la France ?” paru en avril 2021, “La France bétonne plus que ses voisins, avec 47 km² artificialisés pour 100 000 habitants, contre 41 en Allemagne, 30 au Royaume-Uni et en Espagne, ou 26 en Italie” , parmi les causes une plus faible valeur des terres agricoles, ainsi que la difficultés pour les élus locaux à résister à l’attrait financier vanté par les promoteurs de surfaces commerciales)

Après les infrastructures routières, les centres commerciaux sont les surfaces induisant le plus d’artificialisation.

C’est aussi vrai pour La Ville-du-Bois. Une comparaison des vues aériennes de 1950 et 2018 (voir site ign en lien) montre que le rond point de Carrefour et la RN20 au niveau du pont vers Ballainvilliers sont dans l’ancien lit du Rouillon, rivière qui borde le Nord de notre commune.

De même la ZAC des Graviers est sur l’ancien lit du Mort-Ru .

L’obligation de construire des logements sociaux (nécessaires dans un pays où la population augmente, où le nombre de personnes par logement baisse, et où le mal logement touche 4 millions de personnes) conduit aussi à du bétonnage.

Dans le cadre du plan biodiversité établi par le gouvernement en Juillet 2018, les préfets ont reçu pour consigne de “faire preuve de la plus grande vigilance dans la conduite des procédures d’autorisation des exploitations commerciales au sein des commissions départementales d’aménagement commercial” (voir circulaire du 24/08/2020)

Consigne sans doute trop tardive concernant la nouvelle zone commerciale en construction près de Truffaut. 

Vu sur la toile

 – La loi climat a été définitivement adoptée le 20 Juillet, voir l’article du journal Le Monde qui y est consacré

 – Une vidéo sur l’impact du réchauffement climatique 

 – Un article de Sciences et Avenir sur le coût social du bruit ,
“le bruit constitue, d’après l’OMS, le deuxième facteur environnemental provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe, juste derrière la pollution de l’air, responsable par exemple de 40.000 décès prématurés par an en France”

 – Un communiqué de l’UFCNA (Union Française Contre les Nuisances des Aéroports) : 18 associations saisissent le Conseil d’Etat pour l’application du règlement UE 598/2014, entré en application en 2016 qui impose aux Etats de l’UE des études d’impact pour chacun des aéroports où sont opérés plus de 50 000 mouvements d’aéronefs de plus de 34 tonnes par an, dès lors qu’un problème de bruit a été identifié, ou qu’une nouvelle restriction d’exploitation est envisagée. Cette étude permet de retenir plusieurs mesures ou combinaisons de mesures pour réduire le bruit autour des aéroports.

 – Un article de Reporterre intitulé “Face aux inondations, l’urgence de repenser l’aménagement du territoire

 – Une information sur les modifications des trajectoire des avions opérant sur l’aéroport d’Orly en raison de travaux prévus du 9 au 13 août. (voir sur le site Entre voisins du groupe ADP)

 

Edito Juin 2021

A La Ville-du-Bois 

L’actualité de Juin a été marquée par les nombreux orages, et des inondations rarement vues sur la commune.
L’eau a envahi la Grande Rue le 4 juin et le 19 juin. 

La RN20 a été fermée pendant 24h.

Le rond-point de Carrefour était inondé aussi, et est resté maculé de terre.

L’état de catastrophe naturelle a été décrété sur la commune. 

Cela ne va pas arranger la pollution des rivières alors que les 4 gestionnaires de rivières de l’Essonne ont adressé un courrier à la ministre de la Transition écologique afin de l’alerter sur les problèmes de «petites pollutions» de cours d’eau. Ils espèrent la mise en place de procédures simplifiées et attendent de réelles sanctions financières.(cf Le Parisien)

 

Espérons que cela incitera notre municipalité à améliorer la gestion des cours d’eau officiellement répertoriés sur la commune (source Géoportail, cours d’eau BCAE 2021, image de gauche ci-dessous) , et notamment la propreté de la mare de Beaulieu traversée par le Ru de Gaillard . A noter aussi que les risques inondations sur la commune sont connus et répertoriés sur www.georisques.gouv.fr (image de droite ci-dessous)

 

 

Sur la RN20 circulent toujours de nombreux camions, qui ne font pas que de la desserte locale.
A titre d’exemple, le 21 juin, un lundi, 8 ont été croisés en 7mn .

C’est un point que nous avons évoqué avec Marie-Pierre RIXAIN rencontrée à l’invitation de l’association A10 gratuite le 8 juin. L’objectif était de préparer une question au gouvernement concernant la gratuité des autoroutes en Ile-de-France.
On trouvera en lien la question orale posée par Mme RIXAIN.

En voici quelques extraits :

“Alors que l’usage des autoroutes franciliennes est gratuit jusqu’à 50 kilomètres de Paris, celui de l’A10 est payant à 23 kilomètres de la capitale, à partir du péage de Saint-Arnoult, à hauteur de Dourdan en Essonne. La somme à acquitter, d’un montant d’un euro et soixante-dix centimes, représente un coût important pour les usagers effectuant quotidiennement un trajet domicile-travail : on l’estime à 1 300 euros par an pour une voiture.”

“Les études menées entre 2009 et 2011 par le conseil départemental de l’Essonne ont montré que jusqu’à 50 % du trafic sur le réseau secondaire provient de l’A10. Autoroute payante, réseau secondaire saturé, transports collectifs insuffisants, nuisances sonores, pollution atmosphérique, communes coupées en deux par le trafic (Ballainvilliers, la Ville du Bois, Linas, Montlhéry…) et voieries dangereuses : on ne peut se satisfaire de la situation actuelle. Alors que l’expiration prochaine des concessions autoroutières commence à se dessiner, il faut se saisir de ce débat pour faire des territoires périurbains la priorité de l’action publique. Aussi, sans revenir sur les arguments usuels déjà exposés jusque-là (limitation de l’augmentation des tarifs, abonnement préférentiel pour les usagers réguliers…), quelles solutions nouvelles peuvent être apportées pour faciliter la mobilité quotidienne dans cette partie de l’Île-de-France tout en y améliorant le cadre de vie ? Elle lui demande son avis sur le sujet.”

 

Vu sur la toile en Juin

 – le retour des trains de nuit : Le journal Le Monde annonçait le 13 mai le retour du train Paris-Nice

 – l’Institut des Politiques Publiques a publié une note sur l’intérêt financier pour les communes à être dans une intercommunalité dont voici les points clés :

Les communes contraintes de rejoindre une intercommunalité après la loi de 2010 ont connu une hausse annuelle de 12,5 % du nombre de permis de construire délivrés sur leur territoire. Cette hausse des constructions a lieu principalement dans les communes urbaines où la demande de logements est forte.

Les communes rurales obligées de s’intégrer ont subi une perte de services publics de proximité : le nombre de places en crèches et de bibliothèques municipales a baissé d’environ 20 % suite à leur intégration.

Alors que les communes contraintes de s’intégrer sont les seules à avoir subi de telles conséquences, elles ont bénéficié des mêmes avantages que les communes s’étant intégrées volontairement avant la loi : elles sont devenues deux fois plus susceptibles d’avoir accès aux transports publics et ont connu une augmentation annuelle de 14,5% de leurs recettes fiscales.

L’opposition des communes à l’intercommunalité est attribuable aux conséquences locales de l’intégration, au-delà des seules considérations idéologiques ou politiques

 – Depuis le 1er Juin, les véhicules ayant des vignettes Crit’Air 4 , 5 et non classés ont interdiction de circuler entre 8h et 20h dans la zone de faible émission du Grand Paris

– un article de Reporterre propose une analyse de la forte abstention observée lors de élections régionales et départementales : en cause , l’organisation des administrations territoriales autour de métropoles, et la disparition des services de proximité dans les communes rurales. Sur certains points , comme la désertification médicale, la restriction des ouvertures du bureau de poste, la dilution des compétences entre notre commune, la communauté Paris-Saclay, Le Grand Paris, le département, la Région et parfois l’Etat les urbisylvains peuvent aussi être désorientés. 

Edito avril-mai 2021

Vie de l’association

Courant avril notre président Gérard Tessier, a déménagé et a souhaité quitter la présidence de l’association. Il reste membre du bureau. Nous tenons à le remercier pour son investissement constant et tout le travail accompli depuis les débuts de l’association.

Voici la composition de notre nouveau Conseil d’Administration :

Pascale COUDEVILLE : Présidente
Laurent AUCOURT : Vice-président
Jean-Paul TEXIER : Vice- président
Gérard TESSIER : Secrétaire
Philippe COUDEVILLE : trésorier
Gilbert LEGELDON : Administrateur
Frédéric PASCOAL : Administrateur
Igor TOUROVEROFF : Administrateur

Sur notre commune    

On nous a signalé la disparition de plusieurs chats dans le voisinage de la place Beaulieu. Nous avons connaissance de 5 chats disparu depuis le mois de février. Le scénario est à chaque fois le même : le chat reste dehors la nuit – ce qui est courant dès que le printemps arrive – et n’est pas là à son habitude le matin, et on ne le revoit plus.
Prêtez attention en vous promenant Grande Rue, on y croisait de nombreux chats, appréciant la proximité des jardins facilement accessibles par les toits et les clôtures, ils sont aujourd’hui très peu nombreux.

De nombreuses plaques métalliques ont été dérobées à La Ville-du-Bois Rue du Grand Noyer, rue des Joncs marins , route de Nozay et av Victor Hugo et peut-être ailleurs, ainsi qu’ à Nozay sur la chaussée, rue du Bois Clair . Les services techniques de la Mairie ont sécurisé les emplacements autant que possible. C’est assez dangereux, soyez vigilants.

Vu sur la toile en avril et début mai :

Fibre optique : un article de France Info traite des difficultés rapportés aux associations de consommateurs.
Des extraits qui nous parlent :

Aller vite c’est bien, le problème c’est qu’il y a apparemment de plus en plus de problèmes de raccordement ?  

C’est un type de plaintes qui est en train d’exploser dans les messages que l’on reçoit à 60 Millions de consommateurs. D’où cette enquête qu’on y consacre dans notre magazine de ce mois-ci. Il faut savoir que pour être raccordé à la fibre la première fois, la visite d’un installateur est nécessaire, pour dérouler les derniers mètres de câble entre le boîtier fibre qui est au bas de l’immeuble, ou dans la rue, jusqu’à votre salon. Et là, ça peut coincer pour des tas de raisons : le technicien ne se présente pas au rendez-vous, il n’arrive pas à faire passer le câble… C’est plus fréquent qu’on ne le pense.   

Et ce qui est surprenant, c’est que parfois on ne peut pas être raccordé alors que le voisin de l’autre côté de la rue l’est parfaitement. Comment on peut expliquer ça ?

Parfois, il y a des erreurs dans les fichiers de déploiement : votre logement n’est pas correctement référencé, ça bloque le raccordement. Ou parce que l’installation du quartier a été sous-dimensionnée. Et dans certaines situations, il peut y avoir besoin de travaux particuliers, au frais du consommateur.   

Et puis parfois, l’installation peut entraîner des dégâts ? 

On pourrait faire un bêtisier avec les photos de travaux mal réalisés que nous envoient les lecteurs de 60 Millions de consommateurs. Un trou fait n’importe comment dans un mur, un câble qui est laissé en train de pendre dans un coin… Voire un dégât collatéral sur un autre branchement électrique. Certains installateurs, heureusement c’est minoritaire, sont peu soigneux. Il faudra réclamer la prise en charge des éventuels dégâts à l’opérateur ensuite. 

Vols intérieurs l’assemblée nationale a voté le 10 avril la suppression des vols intérieurs pouvant être remplacés par le train dans le cadre de la loi Climat et Résilience. Mais cela reste limité au vols d’une durée inférieure à 2h30, alors que la Convention Citoyenne réclamait une application aux vols de moins de 4h. (voir cet article de BFMTV)

Transports :

Circulation

Biodiversité, climat

Publiée par BVVB sur Mardi 11 mai 2021

Edito Mars 2021

Le mois de mars est déjà achevé, et nous avons l’impression de revenir à la situation de l’an dernier. Cette année nous avons des vaccins, et plus d’espoir que la situation sanitaire s’arrange durablement cet été.

Il faudra de toute façon apprendre à vivre avec ce type de pandémie, et modifier nombre de nos habitudes.

Fonctionnement des conseils municipaux

Parmi les demandes de Bien Vivre à La Ville-du-Bois : que les Conseils municipaux soient retransmis sur les réseaux sociaux, comme cela se pratique dans d’autre communes, ou mieux que les vidéos soient mises en ligne afin que les urbisylvains puissent les consulter lorsqu’ils sont disponibles.

La municipalité a répondu à notre demande en mettant les conseils municipaux le samedi matin à 9h, de façon à ce que tout le monde puisse y assister sans dérogation. Nous ne sommes pas sûrs que cela permette mieux d’y assister, nombre de personnes n’ayant que le samedi pour faire les courses et démarches de la semaine.

Voir par exemple le retour de la recherche “Conseil Municipal en direct” sur Facebook :  recherche “conseil municipal en direct”

L’assemblée nationale met aussi en ligne les vidéos des débats : Séance publique – Vidéos de l’Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr) , ainsi que le sénat : Sénat français – Vidéothèque (senat.fr)

NB : Le prochain conseil municipal est prévu le 10 avril à 9h. L’ordre du jour n’est pas encore public.

Syndicat mixte de la RN20 

Requalification de la RN 20 évoquée depuis 2006 !

Alors que ce syndicat mixte avait pour objectif initial de mettre en œuvre la requalification de la RN20, nous sommes navrés de constater que les élus sont plus occupés à se querelles qu’à agir. Ainsi , alors qu’Alain LAMOUR marie de Longpont sur Orge a été élu président du Syndicat mixte de la RN20, le département a contesté son élection devant le tribunal administratif. A noter qu’ Alain LAMOUR est défenseur du TCSP …

Alors qu’on nous vantait un “boulevard urbain”,  des murs anti-bruit ont été construits à Longjumeau et à Arpajon, si bien que d’autres riverains de la RN20 du Sud Essonne réclament le leur. (voir cet article d’ActuEssonne)

Dépôts sauvages :

Bien Vivre à La Ville-du-Bois s’est fait l’écho des riverains du sentier des forêts qui subissent régulièrement divers dépôts de déchets : 

 

Nous ne pouvons que soutenir le message publié par la municipalité dans la Feuille du Bois d’Avril :

 

Vu sur la toile en mars 

 

Publiée par BVVB sur Jeudi 11 mars 2021

Edito Janvier 2021

 

Bien Vivre à La Ville-du-Bois vous adresse à tous ses meilleurs voeux de bonne santé. Espérons que 2021 nous permette de retrouver des moments de convivialité. N’hésitez pas à adhérer  (voir notre plaquette en lien)

Ce début d’année est l’occasion de nous exprimer sur le Règlement local de publicité, ainsi que sur la révision du PLU qui doivent être examinés par le Conseil Municipal.

Informations sur le règlement local de publicité :

L’enquête publique se déroulera dans les locaux de la Direction des Services Techniques au 20 rue Ambroise Paré, du lundi 25 janvier 2021 au mardi 23 février 2021 à 17 Heures 30 – clôture de l’enquête

On trouvera en lien sur le site de La Ville-du-bois les documents suivants :

Rapport de présentation 04/02/2020 – Partie 1 (2,8 Mo) , document qui définit ce que sont publicités et enseignes, et présente le contexte légal ainsi que celui de la commune.

Rapport de présentation 04/02/2020 – Partie 2 (17 Mo) , document qui rappelle les exigences actuelles et établit un diagnostic dont voici la conclusion :

Le territoire n’est pas marqué par une présence excessive de la publicité, néanmoins, on observe :
F Une concentration relative de dispositifs publicitaires, format de 8 m2
, implantés principalement au Sud de la RN 20 longeant la zone d’activités des Graviers.
Une présence relative des enseignes liées aux nombreuses activités économiques, commerciales et artisanales existantes au Nord et au Sud de la commune.
La commune est marquée par des enseignes vétustes, mal entretenues, en mauvais état, installées sans recherche esthétique, situées sur la RN 20. Cela dénature la qualité des nouveaux bâtiments (habitat +
commerces) qui entrent dans un projet de réhabilitation de la RN 20 traversant le territoire de La Ville du Bois.
Certaines enseignes conformes, situées dans le centre bourg, mais qui apparaissent comme inadaptés notamment au regard de leur implantation et de leurs caractéristiques.

Règlement – 04-02-2020 , qui contient le règlement qui sera discuté en Conseil Municipal du 4 février. La commune est divisée en 3 zones : une zone ZP1, le long des immeubles sur la RN20, une zone ZP2 qui correspond aux deux zones commerciales Nord et Sud de la commune au voisinage de la RN20, et la zone ZP3 qui est l’agglomération de La Ville-du Bois , zone bâtie hors bois et autre que ZP1 et ZP2. (La publicité étant interdite hors agglomération selon le code de l’environnement)

Annexes – 04-02-2020 , où on peut trouver les schémas précis des différentes zones, ainsi que la définition légale de l’agglomération de La Ville-du-Bois.

Révision du PLU

Voici ce qu’on peut lire sur le site de la commune :

Le Conseil municipal, réuni le 8 décembre 2020, a délibéré pour engager une nouvelle procédure de révision du PLU.

Afin de mener à bien ce projet, la concertation avec les habitants est essentielle.

Ainsi, un registre a été mis à la disposition des Urbisylvains au service Urbanisme afin de consulter les documents faisant apparaître les dispositions relatives au contenu de la révision avec la possibilité d’y consigner ses observations. 

Horaires d’ouverture : les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 11h45 et de 13h30 à 17h15, le samedi de 8h30 à 11h45

Le PLU actuel adopté en conseil municipal du 9 avril 2019 est consultable en lien sur le site de la commune. 

Vu sur la toile en janvier :

Voici ci-dessous quelques informations qui ont circulé sur internet en janvier et ont attiré notre attention.