Edito Septembre 2024 : nouveau PLU suite

Dans notre édito du mois d’août, nous vous invitions à aller voir le nouveau PLU mis en ligne sur le site de la municipalité et qui sera ouvert à enquête publique au mois d’octobre. 

Afin d’étayer nos remarques, voici les questions que nous pouvons nous poser :

  • comment le PLU de Juillet 2019 est-il appliqué ?
  • comment sont pris en compte les risques présents et à venir sur la commune, tels que les inondations par ruissellement, et retrait-gonflement des argiles ?
  • quelles sont les orientations pour encourager “les circulations douces” (marche, vélo, trotinette, etc..) et favoriser un juste partage de l’espace urbain ?

Bien sûr nous ne serons pas exhaustifs, et n’hésitez pas à compléter cette réflexion en commentaire.

 

Application du PLU de Juillet 2019

Nous avons relevé quelques exigences du règlement de Juillet 2019 pour lesquelles nous nous interrogeons sur leur application.

Eaux pluviales :

Ce qui est écrit au PLU 2019 :

“Le principe est la gestion à la parcelle des eaux pluviales et leur retour vers le milieu naturel L’infiltration des eaux pluviales des toitures se fera directement dans les terrains, par tout dispositif approprié puits d’infiltration, drains, fossés ou noues Les services assainissement des collectivités pourront être contactés pour fournir un conseil technique”

“Si l’infiltration totale à la parcelle n’est pas possible, il peut être admis au réseau public un rejet d’eaux
pluviales, dont le débit est obligatoirement régulé Un volume de rétention doit être mis en place,
dimensionné pour retenir les surplus des débits non infiltrés pour une pluie de 50 mm d’occurrence 20 ans (qui correspond à un volume de 500 m 3 précipité sur un hectare en l’espace de 4 heures)
Ce volume de rétention peut être à usages multiples (espace de loisirs, parking, etc et est équipé d’un
ouvrage de régulation en sortie, limitant le débit à une valeur maximale de 1 2 litres s ha Ce débit de fuite
pourra faire l’objet d’une modification ultérieure par délibération du Comité syndical du SIAHVY et des
communes membres.”

Dans les rues du centre ville, les gouttières se déversent directement sur le trottoir

Collecte des déchets et ordures ménagères :

Les containers sont souvent stockés sur la voie publique

Ce qui est écrit au PLU 2019 :

“Pour les constructions de toute nature, un ou plusieurs locaux doivent être prévus pour assurer le stockage des déchets La surface et la localisation de ces emplacements doivent être adaptées à la nature et l’importance de la construction”

“Les containers ne doivent pas être visibles de la voie publique (hormis le jour de la collecte)”

Conservation des arbres :

 

Ce qui est écrit au PLU 2019:

“Les projets de construction devront être étudiés dans le sens d’une conservation maximale des arbres existants”

Mais la plupart des chantiers ressemblent à l’image ci-contre.

Prise en compte des risques

Risque inondation et ilots de chaleur :

La Ville-du-Bois fait partie des communes très touchées par les inondations par ruissellement :
( sur Arrêtés Cat Nat – Catnat (ccr.fr) on trouve 14 arrêtés pour inondations et/ou coulée de boue pour La Ville-du-Bois) 

On sait que pour lutter contre ce risque, il importe de limiter l’imperméabilisation des sols , voire de revégétaliser.

Or s’il est mentionné qu’il doit être planté “un arbre de haute tige pour toute tranche entamée de 200 m2 de pleine terre” et  “qu’une part de 30% minimum de la superficie des espaces libres de toute construction doit être traitée en espace perméable dont 15% minimum d’espace verts de pleine terre”, en zones UE et UAE, il est ajouté “hors stationnement et accès véhicule” .

Cette dernière mention autorise donc le bétonnage des parkings.

Par ailleurs, l’Institut Paris Région publie différentes cartographies relatives aux risques induits par le dérèglement climatique, dont les zones vulnérables au phénomène d’ilots de chaleur urbains

On trouve aussi une carte montrant les zones potentiellement renaturables (cliquer sur l’image pour mieux voir)

Cf. Cartoviz – Où renaturer en Île-de-France ? (institutparisregion.fr)

Nous ne voyons ni dans le PLU, ni dans le document d’orientations d’aménagement et d’orientation ce qui est prévu pour lutter contre les ilôts de chaleur, et gérer le ruisellement. 

Au contraire, l’imperméabilisation continue :

Certes on apprécie que la rue du Grand Noyer ait été refaite, qu’il n’y ait plus de nids de poule, et que le trottoir ait été élargi. Mais on s’interroge sur la durabilité et la gestion du ruissellement.

De même rue des Cailleboudes, un nouveau parking a vu le jour, complètement imperméable…

Alors que l’imperméabilisation a déjà été importante sur la commune 

y compris dans des zones inondables :

Le centre commercial Carrefour a été construit dans le lit du Rouillon

La zone des Graviers est dans le lit du Mort Ru

Voir aussi nos précédents articles et édito :

Edito Juin 2021 | Bien Vivre à la Ville du Bois (bvvb.org)

Edito Juillet 2021 | Bien Vivre à la Ville du Bois (bvvb.org)

Edito Juin 2022 : les inondations | Bien Vivre à la Ville du Bois (bvvb.org)

Retrait gonflement des argiles :

Ce que dit le PLU 2024 :

“Le territoire communal comporte des secteurs argileux. Les terrains argileux et marneux sont sensibles à l’eau: gonflement sous l’effet de fortes pluies, retrait en cas de sécheresse, et risque de glissement en cas de talutage. Des précautions particulières doivent être prises pour terrasser et fonder un ouvrage dans ces secteurs. Ces précautions sont rappelées dans la plaquette jointe dans les annexes du PLU.”

Nous n’avons pas trouvé ces annexes.

Pour en savoir plus, nous ne pouvons que vous recommander d’écouter le podcast en lien : Quand le climat fissure l’habitat | France Inter (radiofrance.fr) ou de consulter le site du Cerema : Phénomène de retrait-gonflement des sols argileux (RGA) : définitions, impacts sur les ouvrages et les personnes et solutions d’adaptation au changement climatique | Cerema .

Circulations douces

Si les obligations de réalisation de parking à vélo sont mentionnées dans ce nouveau PLU, nous n’avons rien vu qui s’apparente un à plan vélo, ni d’aménagement prévu pour les piétons, si ce n’est dans le projet de réfection du centre ville , où il est question de sentes, et de “zones apaisées”.

A noter que l’une des sentes prévues est fermée au public. Et c’est assez normal, car il s’agit d’un passage entre des appartements qui était souvent bruyamment squatté . Il n’est sans doute pas opportun de le rouvrir.

Fin 2023 nous montrions l’état de quelques sentes, et en avions réalisé une cartographie , les photos datent d’octobre 2023, certaines sentes ont été nettoyées , d’autre non. C’est un patrimoine de notre commune qui pourrait être mis à profit pour favoriser la marche.

Dans notre édito d’avril 2023 nous montrions une vidéo des “voies cyclables” à La Ville-du-Bois. De ce côté non plus, nous ne trouvons rien dans les projets de la commune pour améliorer la situation.

Compte tenu de la configuration des rues, il a été choisi de limiter la vitesse à 30km/h sur toute la commune. Cela réduit à 13m la distance de freinage d’une voiture (au lieu de 29m à 50km/h). Qu’est-il prévu pour le faire respecter ?

En conclusion

Nous espérons vous avoir donné quelques pistes de réflexion sur les projets d’aménagement pour notre commune. N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques en commentaire, et surtout à répondre à l’enquête publique dès qu’elle sera ouverte.

N’oubliez pas que vous pouvez poser vos questions en fin de Conseil Municipal, lorsque Mr le maire donne la parole à l’assistance. Le prochain Conseil municipal a lieu le 8 octobre.

Edito décembre 2023: bilan 2023

Alors que 2023 s’achève, que retenons-nous de cette année ?

Nous nous sommes interessés aux annonces nationales ou régionales, et avons tenté de comprendre leur application à notre environnement proche.

Voici par ordre de vos préférences les sujets que nous avons traités :
(cliquer sur le titre pour accéder à l’article)

Novembre 2023 : petits et grands axes 

où nous faisons le point des sentes nettoyées depuis la carte publiée en octobre , ainsi que des informations disponibles sur l’avancement de l’aménagement de la RN20

Juin-Juillet 2023 : urbanisation

la comparaison des historiques de vue sur google maps est sans appel : de nombreux arbres ont disparu sur notre commune. A l’heure du changement climatique en cours il faut absolument inverser la tendance

Mars 2023 : des nouvelles du PPA RN20

Alors que la presse annonçait la signature du projet partenarial d’aménagement de la RN20 le 9 mars 2023, nous comparions les annonces “58 actions et 27 milliards d’Euros” avec l’ébauche de feuille de route de mai 2022 , où 7 actions sont indiquées comme financées pour 24,5 milliards d’Euros, et soulignions la quasi inexistence des actions pour “Favoriser l’usage des modes actifs et des modes doux”.

Quant au planning, c’est à pleurer  : fin prévue pour 2038 peut-être, pour un projet dont on nous parle depuis des décennies.

https://twitter.com/NonAuTerminal4/status/1656256158242426882

Mai 2023 : les avions

Plusieurs associations et élus ont manifesté devant le ministère de la transition écologique le 9 mai dernier. 

Pendant ce temps Aéroports de Paris continuait à communiquer sur un trafic aérien qui n’était pas à la hauteur de celui d’avant COVID et affichait des objectifs de croissance.

La preception des riverains serait liée au fait que nous nous sommes habitués à un ciel silencieux pendant le COVID. 

Cependant en regardant les indicateurs objectifs, nous constatons :

  • une augmentation des vols low cost avec de vieux appareils dont les normes de bruit sont peu exigentes
  • une augmentation des mouvements entre 6h et 8h du matin et après 22h

Bien sûr nous continuons à soutenir les actions des représentants de riverains des aéroports en tant que membre de l’association DRAPO

 

Septembre 2023 : les zones commerciales 

Alors que le 11 septembre, Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, et Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme lançaient un programme de transformation des zones commerciales, nous indiquions dans quelle mesure notre commune est concernée. 

Il est certain que les zones commerciales en entrée de ville telles que nous les connaissons ont été trop développées, et doivent être transformées. Nous craignons néanmoins que ces projets ne soient similaires à celui du réaménagement de la RN20 : beaucoup d’annonces et peu de progrès effectifs.

Octobre 2023 : circuler à pied

En septembre dernier, le collectif “Place aux piétons” qui regroupe la FFRandonnée, Rue de l’Avenir 60 millions de piétons et le Club des villes et territoires cyclables et marchables (CVTCM) a présenté à la presse les résultats d’une enquête réalisée en ligne entre novembre 2022 et mars 2023 afin de recueillir leur ressenti sur la marchabilité de leur commune.

Nous avons examiné pour notre commune les principaux points d’amélioration cités en conclusion de cette enquête et en avons profité pour explorer nos sentes qui sont un atout pour favoriser la marche à pied.

Avril 2023 : “circulation douce” : le vélo

Partant d’une comparaison entre les voies cyclables annoncées sur le site de la communauté Paris-Saclay et la réalité nous avons diffusé une petite vidéo sur les réseaux sociaux.

L’occasion de faire le point sur l’intérêt de circuler à vélo, et les freins pour s’y mettre.

Février 2023 : les transports 

Alors que l’Institut Paris Région publiait des statistiques indiquant une diminution de fréquentation des transports en commun franciliens entre 2022 et 2019, nous observions une augmentation de 65% de la  fréquentation des jours ouvrés sur la ligne M153 (à l’époqie encore DM153) qui fait la liaison Porte d’Etampes – Massy Palaiseau sur le trajet du fameux TCSP RN20.

Nous avons aussi comparé les temps de trajet en bus et en voiture entre La Ville-du-Bois les Ulis 2, Villebon 2 ou la zone d’activité de Courtaboeuf: entre 17 mn en voiture et entre 37 mn et 1h en bus, le choix est rapide !

 

 

Janvier 2023 : RN20 pollution aux particules fines

Le bulletin de l’agglomération Paris-Saclay annonçait la parution d’une étude d’Airparif sur les particules fines que nous avons lue attentivement.

Il s’avère qu’au point de mesure situé à Montlhéry, la teneur en particules fines est supérieure à celle observée sur le périphérique parisien. L’étude mentionne aussi la part plus importante de poids lourds et véhicules utilitaires sur la RN20 que sur le périphérique parisien. (24% sur la RN20, pour 15% sur le périphérique Est)

Dans le même temps, la presse dénonçait les surbénéfices perçus par les sociétés autoroutières. 

Autant de raisons de militer pour la gratuité de l’A10 aux côtés de l’association A10 gratuite : les poids lourds devraient rester sur l’autoroute et non transiter par la RN20.

 

Vous souhaitez nous soutenir ?

Edito avril 2023 :”Circulation douce” : le vélo

Pourquoi s’intéresser au vélo ?

Pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre 

Les derniers rapports du GIEC indiquent
qu’avec les politiques décidées à fin 2020 ,
le réchauffement global sera de 2,2 à 3,5 °C
d’ici la fin du siècle par rapport à l’ère pré-industrielle,
avec une valeur médiane de 3,2°C

(Cf. VIe rapport du GIEC à l’usage des décideurs (en anglais), p23)

 

On peut par ailleurs trouver des estimations de l’empreinte CO2 moyenne par personne en France : ici 9,9 tonnes équivalent CO2 par an et par personne  (Cf. cette analyse de la société Carbone4, experte de ce type de bilan )

Si cela vous intéresse, des simulateurs en ligne permettent de calculer sa propre empreinte carbone (par exemple ici ).

Les déplacements en voiture sont des contributeurs majeurs des empreintes carbone individuelles.

 

Selon la Stratégie Nationale Bas Carbone  de mars 2020, publiée par le Ministère de la transition écologique, il faudrait une empreinte carbone de 1,8 à 2 teqCO2 par an et par personne pour atteindre une limitation à 2°C du réchauffement global.

 

Le vélo est un bon moyen de réduire l’empreinte carbone des déplacements :
(source : nosgestesclimat.fr)

 

Pour faire des économies d’énergie :

Dans son enquête sur “l’autosolisme”, Vinci Autoroute constate qu’entre 7h30 et 8h du matin, le taux de véhicules ne transportant qu’une personne était de 87% en 2022.

Voyager seul en voiture, c’est utiliser une énergie pour déplacer environ 1,5 tonnes pour un humain de quelques dizaines de kilos !! 

Un comparatif des caractéristiques vélo à assistance électrique / voiture est donné dans le document The Shift Project – Décarbonner la mobilité dans la vallée de la Seine)

 

Alors que le prix de l’énergie ne cesse d’augmenter, développer les solutions de petits véhicules légers sera nécessaire.

L’infographie d’Aurélien Bigot sur l’usage de 100kW de capacité de batterie selon le type de véhicule est assez éloquente. (Cf. https://bonpote.com/les-vehicules-intermediaires-lavenir-de-la-mobilite/)

 

Comment s’y mettre ?

Il faut reconnaître que ce n’est pas facile. 
Dans son rapport “Décarbonner la mobilité en vallée de la Seine“, the Shift Project mentionne :

Pourquoi le vélo ne se développe pas hors des centres urbains ?
Les raisons les plus souvent avancées de non-utilisation du vélo dans diverses études européennes
(CEMT – ITF 2004; Cycling Scotland Scottish Charity 2018; Korsu, Massot, et Orfeuil 2011) sur l’ensemble d’un territoire sont, par ordre décroissant d’importance :
● les questions relatives à la distance/vitesse du véhicule et au relief, la voiture restant plus rapide que le vélo dans la plupart des circonstances, notamment en périphérie des aires urbaines. En Vallée de la Seine, la voiture a une vitesse moyenne de 29 km/h contre 9 km/h pour le vélo.
● l’absence d’aménagements cyclables adéquats dans les zones où les vitesses de circulation automobile sont limitées à 50 km/h ou plus, ce qui augmente l’insécurité des cyclistes ;
● l’impossibilité ou la difficulté à transporter des objets et/ou des personnes sans équipement dédié ;
● les problèmes de sûreté et de vol de vélos, bien que ce problème soit moins marqué dans le périurbain que dans l’urbain (Mercat et Héran 2003) ;
● le confort, les Français déclarant craindre le froid, la pluie et la chaleur alors que plus de 30 % des déplacements se font à vélo dans d’autres pays aux conditions climatiques similaires (PaysBas) ou moins bonnes (Suède : neige, froid intense) (Korsu et al. 2011).

 

Ainsi les collectivités territoriales affichent une volonté de développer “les mobilités douces”, sachant que selon les enquêtes sur le déplacement des français de nombeux déplacements en voiture sont réalisés y compris pour des trajets sur des distances courtes (Cf. https://www.insee.fr/fr/statistiques/5013868)

 

Des aménagements à améliorer

Et si la communauté Paris-Saclay publie un Schema_directeur_des_circulations_douces_avril_2019.pdf (paris-saclay.com) , dans la pratique, lorsqu’on compare la carte des circulations douces avec la réalité, on a quelques mauvaises surprises.

 

Coté parking, ce n’est pas brillant non plus. Si on compare les emplacements montrés sur la carte interactive “à vélo en Ile-de-France :

Il ne suffit pas de peindre des logos au sol. Des aménagements sécurisants sont nécessaires.

Un bon test de sécurisation :

Ne pas oublier les territoires éloignés des centres des métropoles

Enfin , si on regarde une estimation des distances moyennes domicile-travail par commune en Ile-de-France (calculée à partir de données Insee 2019 sur les flux domicile-travail) , si jusqu’à 15 km on estime qu’il est possible d’utiliser un vélo à assistance électrique, au-delà, ce n’est pas tellement envisageable. Et les territoires ne sont pas égaux : à la périphérie de l’Ile-de-France – comme sans doute à la périphérie de la plupart des métropoles le vélo ne peut pas être une solution pour décarboner les mobilités.

Une analyse plus approfondie des usages est nécessaire en tenant compte de la diversité des territoires.

Sur la toile Août 2022

Après ces derniers mois marqués par la guerre en Ukraine et l’impact grandissant du changement climatique, nous avons pris le parti de relayer quelques bonnes nouvelles glanées au mois d’août.

Divers :

Une étude sur les bienfaits de la vente en vrac qui, en plus de réduire l’utilisation des emballages, favorise le marché local https://www.actu-environnement.com/ae/news/vente-vrac-reseau-vrac-etude-benefices-indirects-40113.php4

Face aux difficultés l’agriculture biologique se maintient https://www.actu-environnement.com/ae/news/agence-bio-chiffres-marche-bio-2021-40110.php4

Radio France décide d’adapter ses contenus pour faire plus de pédagogie sur l’environnement “Tournant” environnemental chez Radio France : “nous vivons notre deuxième révolution” (novethic.fr)

 

Des réflexions sur la gestion de l’eau :

S’informer sur les usages, c’est le premier pas vers l’action INFOGRAPHIES. Agriculture, eau potable, centrales nucléaires… Comment l’eau est consommée en France en quatre graphiques (francetvinfo.fr)

Stockage dans les sols, recyclage des eaux usées, création d’espaces verts… Quelles sont les pistes pour économiser l’eau à long terme ? (francetvinfo.fr)

Pour améliorer les flux sur sa distribution d’eau, Eau de Paris investit dans des capteurs acoustiques Eau de Paris investit pour améliorer durablement son rendement (lagazettedescommunes.com)

 

 

Les collectivités s’adaptent :

Canicule : à Toulon, la mairie tente de faire baisser la température dans les écoles (francetvinfo.fr)

L’Essonne mobilise des technique innovantes pour l’entretien des routes. Parler de « routes écologiques » est peut-être excessif, mais ce qui permet de réutiliser les matériaux et réduire l’impact écologique est bon à prendre  Le Département innove pour des routes écologiques – Conseil départemental de l’Essonne

Il semble qu’il y ait une volonté politique Élisabeth Borne promet 1,5 milliard d’euros aux collectivités pour leur transition écologique (actu-environnement.com)

 

Transports :

Des aides pour l’achat d’un vélo Renforcement des aides nationales à l’achat d’un vélo | economie.gouv.fr

Réouverture d’un ligne SNCF Transports : fermée depuis 50 ans, une ligne SNCF entre le Gard et le Vaucluse reprend du service (francetvinfo.fr)

Des autoroutes ferroviaires se développent pour le fret à longue distance à travers l’Europe