Sur la toile Février 2022

Travaux en cours dans la ville

La mairie a semble-t-il tenu compte de notre remarque lors du Conseil Municipal du 8 février sur l’absence d’informations sur les travaux de voirie, et nous l’en remercions.

Travaux en cours dans la ville (lavilledubois.fr)

Voici les liens que nous avons partagés sur les réseaux sociaux au mois de février :

La Cour des comptes se penche sur le financement d’IDFM (mobilitesmagazine.com)

Dans son rapport annuel 2022, la cour des comptes consacre un chapitre aux transports franciliens et évoque la nécessité d’en réformer le financement.
(voir Le rapport public annuel 2022 (vie-publique.fr) pp407-431)

 

Un vidéo illustre des “bus-vélo” à San Francisco, formés par les familles pour sécuriser leurs déplacements en ville.

A propos des déserts médicaux : Dans l’Essonne, une cabine de télémédecine dans une mairie pour éviter le désert médical (20minutes.fr)

Dans le monde diplomatique, “Un rapport secret rédigé par l’inspection générale des finances démontre que les concessionnaires d’autoroutes auraient bénéficié de surrémunération à hauteur de 4 milliards d’euros.” De l’autoroute publique aux péages privés, par Philippe Descamps (Le Monde diplomatique, juillet 2012) (monde-diplomatique.fr)

Pour ceux qui passent au véhicule électrique, la difficulté est de trouver des bornes de recharge : Parigo-Voitures électriques : recherche bornes de recharge désespérément (francetvinfo.fr)

“Vingt-quatre dirigeants d’entreprises ferroviaires européennes, dont le patron de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, veulent œuvrer ensemble pour « améliorer l’attractivité du rail partout sur le continent », réclamant « un investissement européen massif » pour nouer « un nouveau pacte ferroviaire européen »« Le train est le mode de transport motorisé le plus écoresponsable », plaident les dirigeants dans une tribune publiée en France le 20 février par Le Journal du dimanche, se désolant de ce que « la part du ferroviaire dans le transport de passagers et de marchandises reste si faible ».”
Les patrons du rail réclament « un nouveau pacte ferroviaire européen » (lemonde.fr)

Face à un projet de SNCF transilien de fermer de nombreux guichets dans les gares d’Ile-de-France : 
Des élus alertent sur la fermeture de guichets dans des gares RER et Transilien (francetvinfo.fr)

“Le Fonds mondial pour la nature appelle l’ONU à négocier un traité sur le sujet. Les plastiques à usage unique constituent plus de 60 % de la pollution marine.” : 
La pollution plastique a atteint « toutes les parties des océans », alerte le WWF (lemonde.fr)

Les particules ultrafines dans le viseur d’Airparif | Airparif

(et notamment Une campagne de mesure des particules ultrafines prévue au voisinage des zones aéroportuaires)

Grand Paris : l’interdiction de certains véhicules polluants repoussée à 2023 (lemonde.fr)

Ce qui change au 1er février 2022 :
Prix de l’électricité, restrictions sanitaires, taux du livret A… Découvrez ce qui change en février (francetvinfo.fr)

Une tribune signée par 1400 scientifiques demande un vrai débat sur les actions à mener pour prévenir la crise climatique et environnementale dans la campagne présidentielle. 
TRIBUNE. Crises environnementales : 1 400 scientifiques appellent les candidats à la présidentielle et les médias à sortir “des discours de l’inaction” (francetvinfo.fr)

Edito Février 2022 : traitement des déchets

Suite de l’édito de Janvier sur le manque de médecins :

Nous avons eu un retour d’une adhérente qui a finalement trouvé un médecin à Montlhéry, qui est satisfaite des services du CCAS pour l’y emmener, mais trouve dommage qu’il n’y ait suffisamment de médecins sur la commune, ni une maison de santé, comme à Montlhéry ou à Nozay.

Nous avons adressé par email le 21 janvier un courrier au Maire, voici en lien la réponse que nous avons reçue, et ce que nous en avons retenu :

– Le regroupement avec deux infirmières fait du cabinet médical de la Grande Rue une maison médicale. Y exercent actuellement deux médecins et deux infirmières. Un médecin est recherché, qui peut bénéficier d’aides de la région pour s’installer

– Une maison médicale est envisagée dans les nouveaux bâtiments en bordure de RN20.

 

A propos du traitement des déchets 

Parmi les préoccupations des urbisylvains, la gestion des déchets est souvent évoquée : taxe d’enlèvement des ordures ménagère augmentée, collecte moins fréquente, changement de collecte des encombrants.

Qu’entend-on par gestion des déchets ? Un peu d’histoire …

Au fil des évolutions réglementaires, la collecte des déchets a beaucoup évolué.

Si dès la fin du XIXe siècle la collecte des ordures ménagères avait d’abord un objectif hygiéniste, petit à petit les besoins ont évolué. D’une part la quantité de déchets à collecter a changé de nature et a considérablement augmenté, d’autre part la législation a, ces dernières années, évolué vers des objectifs de réduction des déchets décidés au plan international. (ONU et Union Européenne)

Voici un aperçu des principales évolutions législatives :

(Source :  Cahier français n° 422, de Juillet-Aout 2021, édité par la Documentation française et consacré  La gouvernance des déchets | Vie publique.fr (vie-publique.fr))

Au fil du temps et des évolutions législatives sont apparues plusieurs catégories de déchets :

  • Les déchets municipaux (ordures ménagères et assimilées, déchets de voirie, de marché, déchets verts, encombrants)
  • Les déchets ménagers spéciaux (piles, ampoules, solvants, peintures, etc…)
  • Les déchets dangereux diffus (idem déchets ménagers spéciaux, ainsi que polluants en trop faible quantité pour intégrer la filière de traitement des déchets dangereux
  • Déchets dangereux issus des activités économiques
  • Déchets d’équipements électroniques (DEE)

Selon le principe du « pollueur-payeur », depuis 1975, est instituée la « Responsabilité Elargie du Producteur », et ce sont les industriels qui ont la charge d’organiser les filières de recyclage.

Selon la publication de l’ADEME dechets_chiffres_cles_edition_2020_010692.pdf (ademe.fr) , voici les ordres de grandeur des déchets traités en France en 2017 :Ce qui nous concerne le plus directement est le traitement des “déchets municipaux” :

Et combien cela nous coûte-t-il ?

A La ville-du-Bois, comme dans 97% des communes franciliennes, la contribution au financement du traitement des déchets se fait via la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM).

Sur quelques communes, est exigée une redevance dont la grille tarifaire est liée à l’utilisation du service de traitement des déchets (volume, poids, présentation des bacs…).

La TEOM est calculée selon un taux de la taxe foncière sur le Bâti. Ce taux est voté par les collectivités locales de façon à harmoniser les coûts, la jurisprudence impose que « le taux de la TEOM ne doit pas être manifestement disproportionné par rapport au montant des dépenses exposées pour assurer l’enlèvement et le traitement des déchets issus du service public. »

En globalité sur l’Ile-de-France, la somme des montants prélevés a augmenté en moyenne de 3,1% par an entre 2009 et 2015, et de 1,1% par an entre 2015 et 2019.
(cf Financement du service public des déchets : quelle situation en 2019 ? (ordif.fr) )

Afin de comparer les différents territoires, les collectivités utilisent le critère de produit de la taxe / habitant, ce qui ne correspond par à la TEOM de nos feuilles d’imposition par foyer fiscal, qui est proportionnelle à la valeur locative de notre habitation. 

Cet indicateur montre les disparités entre les territoires :

Voici les TEOM 2020 sur La Ville-du-Bois et les communes avoisinantes :

Source : Observatoire des finances et de la gestion publique locale, fiscalité directe locale
Explore — OFGL 

On peut aussi trouver un historique 2012-2020 des TEOM rapportées au nombre d’habitants pour les EPCI :

(source Comptes consolidés des groupements à fiscalité propre 2012-2020 — OFGL )

A noter que pour la CC du Val d’Essonne, le financement du traitement des déchets est issu d’une redevance incitative, d’où la faible TEOM.

En conclusion avec une TEOM 2020 en Euros /ha de 121,7 Euros, La Ville-du-Bois se situe un peu au-dessous de la moyenne de l’Ile-de-France, mais au dessus de la moyenne pour l’EPCI Paris-Saclay, mais certaines communes de l’EPCI Paris-Saclay financent le service via une redevance et non la TEOM.

Voici l’évolution du produit de la TEOM en Euros/ habitant ces dernières années en Ile-de-France.

La TEOM est assise sur le foncier bâti : les assujettis à cette taxe sont les propriétaires des locaux d’habitation et locaux professionnels (hors usines et administrations). L’assiette de cette taxe et, in fine, le montant de la taxe exigée aux contribuables, dépend donc sensiblement des caractéristiques du foncier bâti sur les territoires et plus spécifiquement sur la répartition entre les locaux relevant des ménages (appartements, maisons, dépendances) et ceux issus des non-ménages.
Le graphique suivant met en exergue le parallélisme entre la part les locaux par typologie et leur contribution par le biais de la TEOM :

Ainsi en Essonne, 7% des locaux sont des locaux professionnels, et ils participent pour 39% au produit de la TEOM.

Enfin, les augmentations de TEOM depuis 2015, sont dues aux augmentations de la valeur locative des bâtiments assujettis à la taxe.

 

Est-ce que la TEOM suffit à financer le traitement des déchets ménagers ?

Concernant le SIDEROM dont nous dépendions auparavant, la réponse est clairement non .

Voici un extrait du rapport de la Cour des Comptes Ile-de-France publié en février 2021 (Cf. Syndicat pour l’innovation, le recyclage et l’énergie par les déchets et les ordures ménagères (Siredom) (Essonne) | Cour des comptes (ccomptes.fr))

L’organisation des compétences entre le Siredom et ses membres est complexe et peu lisible pour l’usager comme pour le contribuable. Son examen met en évidence des missions de collecte et de traitement qui sont partiellement non conformes à la réglementation ou qui ne devraient pas être financées par la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) et la redevance du même nom (REOM).
En outre, les ressources demandées par le Siredom ne permettent pas de financer le service rendu. Ainsi, le rapprochement des recettes de fonctionnement et des dépenses de fonctionnement en matière de traitement et de collecte des déchets met en évidence un sous-financement structurel de 5,4 M€ en 2018, dus aux deux tiers à trois groupements (Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, Coeur d’Essonne Agglomération, Grand Paris Orly Seine Bièvre). Les modalités de calcul des tarifs et autres ressources du Siredom demandent à être réexaminées et justifiées.
En octobre 2020, le sous-financement du Siredom, identifié et chiffré, portait sur près de 55 M€, dont 43 M€ de dettes certaines et 11 M€ de risques contentieux à faire financer, selon leur nature et origine et par carte de compétences, par tout ou partie des groupements adhérents du Siredom.

 

D’un point de vue plus global voici un extrait du Référentiel national des coûts du service public de prévention et de gestion des déchets – La librairie ADEME , publié par l’ADEME en Juillet 2019, et portant sur la synthèses des données 2016 de 351 collectivités représentant 21,25 millions d’habitants :

Le coût complet TTC de la gestion des déchets (représentant le total des charges de fonctionnement engagées par les collectivités) est estimé à environ 8,3 milliards d’euros en 2016, soit 5 % des dépenses de fonctionnement des collectivités locales.

Tous flux confondus, le coût complet HT de gestion des déchets est de 117 euros par habitant, les charges de traitement représentant 40 % du coût et les charges de collecte 37 %.

Le coût aidé, après déduction des recettes (ventes de matériaux et d’énergie, soutiens des éco-organismes, subventions) est de 92,50 euros HT par habitant. Ce coût est couvert à 105 % par le financement appelé auprès des usagers (TEOM, redevance spéciale, REOM, RI, contributions des adhérents)

Le coût aidé de la gestion globale des déchets en euros par habitant est en légère baisse par rapport à 2014, passant de 93,10 euros par habitant en 2014 à 92,50 euros par habitant en 2016. Sur la même période, le coût à la tonne (coût aidé) s’est stabilisé. La baisse du coût en euros par habitant s’explique principalement par une baisse du coût aidé des OMR. Le coût aidé des autres flux (verre, recyclables et déchèteries) augmente légèrement (sans compenser la baisse sur les OMR).

Les ordures ménagères résiduelles représentent toujours le premier flux en termes de coût (57 % du coût de l’ensemble de la gestion des déchets et 44 % des tonnages).

La dispersion des coûts est très forte (80 % des collectivités ont un coût aidé de gestion globale compris entre 62 et 122 euros par habitant), liée aux caractéristiques des territoires, aux quantités de déchets collectés, aux modes d’organisation retenus

Une présentation de l’Observatoire régional des déchets ile de France, lors du webinarie du 22 février dernier indique les chiffres 2018 : coût total 122 Euros HT / ha , coût aidé (issu des taxes) 98 Euros / ha 

Référentiel national des coûts du service public déchets (ordif.fr)

A noter la part importante des coûts de collecte (37%) qui explique la tendance à diminuer le nombre de collectes.

 

Quelles tendances pour l’avenir ?

Les objectifs réglementaires sont :

Réutilisation/ recyclage des déchets ménagers ≥ 55% d’ici 2025

Mise en décharge des déchets municipaux ≤ 10% d’ici 2035

La tendance sera donc de nous inciter à produire moins de déchets. D’autant que la France n’est pas très bien placée au regard de ces objectifs :

Dans son Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (prpgd_idf-document_complet.pdf (iledefrance.fr) ) la région Ile-de- France indique :

  • des objectifs de réduction des ordures ménagères et du gaspillage alimentaire
  • un soutien aux initiatives de réparation et recyclage
  • un objectif de déploiement du compostage (voir collecte des biodechets – Le SIOM de la Vallée de Chevreuse)
  • le déploiement d’une tarification incitative (objectifs de populations concernées 1 800 000 en 2025 et de 3 600 000 en 2031, mais pas vraiment de détails sur les modalités)

La lutte contre les dépôts sauvages, est aussi un axe important. La législation s’est sévérisée, et notre municipalité en a pris acte (voir La Feuille du Bois de Février )

Nous n’avons donc pas fini de voir évoluer le service public de collecte des déchets.

Le meilleur déchet reste celui qu’on ne produit pas, et les enjeux dépassent le coin de notre rue.

Concernant l’organisation des syndicats de gestion, qui sont constitués d’élus, leur organisation selon les territoires reste obscure pour le citoyen. Etant donné que ce sont toujours les mêmes élus qui siègent partout, pourquoi ne pas les rattacher directement aux EPCI, cela ferait une strate en moins dans le millefeuille territorial ?

Sur la toile Janvier 2022

Voici les articles que nous avons fait suivre courant janvier sur les réseaux sociaux . Bonne lecture !

Un récapitulatif des lois qui entrent en vigueur par Actu.Environnement

Environnement : ce qui change au 1er janvier 2022 (actu-environnement.com)

 

Tarif des péages autoroutiers :

Tarif des péages autoroutiers : Vinci Autoroutes annonce un gel pour l’essentiel des trajets de moins de 50 kilomètres (francetvinfo.fr)

Les tarifs des autoroutes augmenteront d’environ 2 % le 1er février (lemonde.fr)

Assemblée générale 2021 | a10gratuite (free.fr)

 

Déchets :

Décharges sauvages : en Île-de-France, un collectif citoyen traque les pollueurs (france24.com)

On gagne tous à mieux trier – Le SIOM de la Vallée de Chevreuse

 

Transports

Politiques cyclables dans les territoires peu denses : un nouvel appel à projets AVELO 2 (banquedesterritoires.fr)

On vous explique la polémique sur les “vols fantômes” sans passager dans le secteur aérien européen (francetvinfo.fr)

 

Construction

Label Éco-Quartier : 17 projets labellisés en 2021 (batiweb.com)

 

Pollution

La limite planétaire de sécurité pour les polluants chimiques est dépassée (actu-environnement.com)

Bulletin d’information du syndicat de l’Orge – pollution de l’Orge survenue le 20 Janvier 2022

Une étude confirme la forte exposition des Français au glyphosate (actu-environnement.com)

 

Gestion des eaux

SIVOA_AuFildelOrge112 (extranetoko.fr)

Comment limiter l’impact des intempéries en milieu urbain ? (francetvinfo.fr)

 

Bruit

Pollution sonore : un premier radar anti-bruit expérimenté dans les Yvelines (francetvinfo.fr)

Bruitparif dévoile son prototype de radar sonore à visée de contrôle-sanction

Voeux 2022

Nous vous adressons tous nos voeux pour 2022. Bien sûr d’abord la santé, puis de beaux moments et la réalisation de vos projets les plus chers.

Nous souhaitons aussi à tous (liste non exhaustive) :

d’accéder facilement aux soins médicaux

d’accéder aux moyens de transport dont nous avons besoin

de pouvoir circuler facilement à pied ou en vélo

de vivre paisiblement dans un environnement agréable, sans bruit, sans pollution, …

Nous souhaitons aussi que les débats qui nous concernent soient le plus possible publics et faciles d’accès : d’autres communes retransmettent en direct leurs Conseils municipaux et leurs réunions de quartier, c’est donc possible.

L’association poursuivra en 2022 les actions qu’elle mène depuis maintenant 20 ans, toujours dans l’objectif de maintenir le meilleur cadre de vie possible pour tous.

Rejoignez-nous ! (voir notre plaquette en lien)

Contactez-nous : bienvivrelvdb@gmail.com

 

Edito Octobre 2021

La Ville-du-Bois 

 

Les réseaux sociaux se font l’écho de problèmes récurrents de connexion internet avec la fibre, dont l’installation et la fiabilité sont très erratiques.

La commune a mis en place sur son site un formulaire de signalement de dysfoncionnement en lien ici

Un article dans La feuille du Bois rapporte l’action de l’agglomération Paris-Saclay auprès des opérateurs concernés , suite aux mécontentements exprimés sur plusieurs communes.(voir en lien le communiqué de Paris-Saclay)

A suivre …

 

Les avions qui survolent notre commune continuent de se faire entendre. Une consultation publique dans le cadre du Plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement a été cloturée le 25 octobre.  L’association DRAPO a recuilli 5560 commentaires.

 

La fédération française des usagers de la bicyclette organise une campagne d’évaluation sur la facilité à circuler à vélo dans les communes. Le questionnaire est ouvert jusqu’au 30 novembre

 

Vu sur la toile :

Des recommandations émanant de la délégation aux collectivités territoriales du sénat pour luttuer contre les déserts médicaux : Déserts_médicaux_Essentiel (senat.fr)

La reprise du fret ferroviaire entre Perpignan et Rungis : Fret ferroviaire : le train des primeurs entre Perpignan et le marché de Rungis sera remis en route vendredi (francebleu.fr)

Emmanuelle Wargon, ministre du Logement a présenté sa feuille de route : Le ministère du Logement dévoile ses idées pour habiter la France de demain (actu-environnement.com)

Tandis que Barbara Pompilli, ministre de la Transition écologique, a présenté des actions pour améliorer la prise en compte des risques environnementaux. Culture du risque : Barbara Pompili présente sa feuille de route (actu-environnement.com)

Un article sur la mise en concurrence progressive des transports en Ile-de-France : En Ile-de-France, la difficile bascule de transports vers la concurrence (lemonde.fr)

Courant octobre, à Nozay, la mairie retransmettait en ligne une réunion de quartier : ce qui prouve que c’est possible !
(2) Facebook

Un label lancé par l’Agence de la transition écologique ADEME  : L’Ademe lance le label Vertvolt pour faire le tri dans les offres d’électricité verte (actu-environnement.com)

 

 

Edito Septembre 2021

Au cours de ce mois de septembre, que ce soit sur les réseaux sociaux ou par les courriels que nous avons reçus, les urbisylvains s’inquiètent de la difficulté à trouver un médecin référent alors que de nombreux médecins arrêtent leur activité. Dans les villes avoisinantes, se construisent des maisons de santé, où il est possible de trouver une consultation d’urgence qui ne relève pas de l’hôpital. 

 

La réponse du département à la désertification médicale publiée dans le dernier journal “Essonne et Vous” est assez surprenante : des cabines de téléconsultation se sont ouvertes à Evry et à Brétigny.

Pas sûr que cela réponde aux besoins d’une population à la fois vieillissante et en augmentation !

 

 

 

Autre sujet de préoccupation : les modifications de trajectoire des avions que nous entendons beaucoup plus.

A titre d’exemple nous avions relevé au mois de Juillet la trajectoire d’un vol parti d’Orly à 12h16, qui a transité au-dessus de La Ville-du-Bois en pleine accélération.

Sur les données issues du site Vitrail | Visualisation des trajectoires des avions (entrevoisins.org), on voit que cet avion passe de 300 km/h à 375 km/h en passant au-dessus de La Ville-du-Bois.

Les données du site https://fr.flightaware.com montrent qu’il s’agit d’un vol à destination de Toulouse et la courbe jaune à droite ci-dessous confirme bien qu’il passe en pleine accélération au dessus de La Ville-du-Bois, ce que nous percevons comme très bruyant.

Par ailleurs, les urbisylvains découvrent souvent des travaux de voirie, perturbant de façon importante la circulation et alors que peu d’informations ont disponibles sur les raisons et la durée des travaux. 

Les déboires de raccordement à la fibre font aussi partie des “irritants” …

Notre association a pour but de faire entendre aux élus et aux administrations les aspirations de tous à une meilleure qualité de vie. Notre assemblée générale se tiendra le samedi 16 octobre de 9h30 à 11h30 au Foyer des Anciens. Le pass sanitaire sera exigé, ainsi qu’une cotisation minimale de 6 Euros pour participer aux votes.
(voir notre aussi notre plaquette)

contact : bienvivrelvdb@gmail.com

Edito Juin 2021

A La Ville-du-Bois 

L’actualité de Juin a été marquée par les nombreux orages, et des inondations rarement vues sur la commune.
L’eau a envahi la Grande Rue le 4 juin et le 19 juin. 

La RN20 a été fermée pendant 24h.

Le rond-point de Carrefour était inondé aussi, et est resté maculé de terre.

L’état de catastrophe naturelle a été décrété sur la commune. 

Cela ne va pas arranger la pollution des rivières alors que les 4 gestionnaires de rivières de l’Essonne ont adressé un courrier à la ministre de la Transition écologique afin de l’alerter sur les problèmes de «petites pollutions» de cours d’eau. Ils espèrent la mise en place de procédures simplifiées et attendent de réelles sanctions financières.(cf Le Parisien)

 

Espérons que cela incitera notre municipalité à améliorer la gestion des cours d’eau officiellement répertoriés sur la commune (source Géoportail, cours d’eau BCAE 2021, image de gauche ci-dessous) , et notamment la propreté de la mare de Beaulieu traversée par le Ru de Gaillard . A noter aussi que les risques inondations sur la commune sont connus et répertoriés sur www.georisques.gouv.fr (image de droite ci-dessous)

 

 

Sur la RN20 circulent toujours de nombreux camions, qui ne font pas que de la desserte locale.
A titre d’exemple, le 21 juin, un lundi, 8 ont été croisés en 7mn .

C’est un point que nous avons évoqué avec Marie-Pierre RIXAIN rencontrée à l’invitation de l’association A10 gratuite le 8 juin. L’objectif était de préparer une question au gouvernement concernant la gratuité des autoroutes en Ile-de-France.
On trouvera en lien la question orale posée par Mme RIXAIN.

En voici quelques extraits :

“Alors que l’usage des autoroutes franciliennes est gratuit jusqu’à 50 kilomètres de Paris, celui de l’A10 est payant à 23 kilomètres de la capitale, à partir du péage de Saint-Arnoult, à hauteur de Dourdan en Essonne. La somme à acquitter, d’un montant d’un euro et soixante-dix centimes, représente un coût important pour les usagers effectuant quotidiennement un trajet domicile-travail : on l’estime à 1 300 euros par an pour une voiture.”

“Les études menées entre 2009 et 2011 par le conseil départemental de l’Essonne ont montré que jusqu’à 50 % du trafic sur le réseau secondaire provient de l’A10. Autoroute payante, réseau secondaire saturé, transports collectifs insuffisants, nuisances sonores, pollution atmosphérique, communes coupées en deux par le trafic (Ballainvilliers, la Ville du Bois, Linas, Montlhéry…) et voieries dangereuses : on ne peut se satisfaire de la situation actuelle. Alors que l’expiration prochaine des concessions autoroutières commence à se dessiner, il faut se saisir de ce débat pour faire des territoires périurbains la priorité de l’action publique. Aussi, sans revenir sur les arguments usuels déjà exposés jusque-là (limitation de l’augmentation des tarifs, abonnement préférentiel pour les usagers réguliers…), quelles solutions nouvelles peuvent être apportées pour faciliter la mobilité quotidienne dans cette partie de l’Île-de-France tout en y améliorant le cadre de vie ? Elle lui demande son avis sur le sujet.”

 

Vu sur la toile en Juin

 – le retour des trains de nuit : Le journal Le Monde annonçait le 13 mai le retour du train Paris-Nice

 – l’Institut des Politiques Publiques a publié une note sur l’intérêt financier pour les communes à être dans une intercommunalité dont voici les points clés :

Les communes contraintes de rejoindre une intercommunalité après la loi de 2010 ont connu une hausse annuelle de 12,5 % du nombre de permis de construire délivrés sur leur territoire. Cette hausse des constructions a lieu principalement dans les communes urbaines où la demande de logements est forte.

Les communes rurales obligées de s’intégrer ont subi une perte de services publics de proximité : le nombre de places en crèches et de bibliothèques municipales a baissé d’environ 20 % suite à leur intégration.

Alors que les communes contraintes de s’intégrer sont les seules à avoir subi de telles conséquences, elles ont bénéficié des mêmes avantages que les communes s’étant intégrées volontairement avant la loi : elles sont devenues deux fois plus susceptibles d’avoir accès aux transports publics et ont connu une augmentation annuelle de 14,5% de leurs recettes fiscales.

L’opposition des communes à l’intercommunalité est attribuable aux conséquences locales de l’intégration, au-delà des seules considérations idéologiques ou politiques

 – Depuis le 1er Juin, les véhicules ayant des vignettes Crit’Air 4 , 5 et non classés ont interdiction de circuler entre 8h et 20h dans la zone de faible émission du Grand Paris

– un article de Reporterre propose une analyse de la forte abstention observée lors de élections régionales et départementales : en cause , l’organisation des administrations territoriales autour de métropoles, et la disparition des services de proximité dans les communes rurales. Sur certains points , comme la désertification médicale, la restriction des ouvertures du bureau de poste, la dilution des compétences entre notre commune, la communauté Paris-Saclay, Le Grand Paris, le département, la Région et parfois l’Etat les urbisylvains peuvent aussi être désorientés. 

Du Nouveau sur la requalification de la RN20 ?

Nous avons été sollicités pour participer à une rencontre sur la RN20 avec Amélie de Montchalin et Tarik Meziane, ainsi que les élus locaux et les associations.  Etaient notamment présents Laurent Saint-Martin, député du val de Marne, et candidat aux élections Régionales, Marie-Pierre Rixain notre députée, Christelle Pouliquen, son attachée parlementaire et Jean-Pierre MEUR, maire de La Ville-du-Bois, en charge de l’aménagement RN20 au sein de la communauté Paris-Saclay. Le thème était la requalification de la RN20, sujet que Bien Vivre à La ville-du-Bois suit depuis sa création. Nous avions participé aux Assises de la RN20 du 18 octobre 2006 .

Rappelons les conclusions que nous avions retenues  à l’époque :

il est impératif d’avoir un projet commun à toutes les communes limitrophes (et l’absence de notre commune dans les débats est à regretter)

– le budget alloué au Conseil Régional est largement insuffisant pour les aménagements nécessaires, et il est d’autant plus nécessaire de porter un projet fort, construit et partagé.

– nous devons tous avoir une approche plus globale que le seul aménagement de la RN20, car ce problème est en lien avec l’aménagement du territoire depuis Saclay jusqu’à Evry.

Une charte “RN20 Assises” avait été officialisée en janvier 2007.

Un petit rappel de l’historique des aménagements de la RN20 en images :

Entre 1894 et 1936 circulait entre Arpajon et Paris les Halles un tramway : l’Arpajonnais 
ici une vue à La Grange aux Cercles. En 1937 le transport de passager est repris par une compagnie de bus.

Lors de cette rencontre avec les élus, Mr MEUR a indiqué qu’il avait eu avec Ile de France Mobilités une réunion le 5 mai dernier, et que le projet de TSCP n’était pas abandonné.

Quant à nous nous avons souligné les points suivants :

– Vu du citoyen l’aménagement du territoire apparaît incohérent : entre Etat, Région, Département, Métropole du Grand Paris , EPCI et communes, les décisions se contredisent et les actions s’embourbent. 
– Nous ne contestons pas le besoin de logements sociaux, mais trouvons déraisonnable d’installer des populations ayant de faibles ressources en bordure d’un axe polluant et bruyant, et dans des communes ne disposant des moyens nécessaires pour un accompagnement social plus global.

– Compte tenu de l’historique, il nous est difficile d’avoir une quelconque attente vis à vis des élus , tous bords confondus.

Les échanges ont été intéressants, et nous avons apprécié cette rencontre avec des personnes qui apportent “un sang neuf”.

Quant au TCSP , que nous surnommions en 2013 “TCSP – L’Arlésienne de la RN20 ? | Bien Vivre à la Ville du Bois (bvvb.org)“, il ne saurait constituer l’unique solution aux nuisances générées par des décennies d’abandon de ce territoire :

  • il ne saura à lui seul absorber le trafic permettant de passer de 70 000 veh/jour aux quelques 30 000 compatibles avec un boulevard urbain.
  • compte tenu des 10000 habitants supplémentaires installés par rapport à l’époque des études de trafic, il risque d’être insuffisant dès sa réalisation, comme beaucoup d’infrastructures routières en Ile-de-France

C’est l’aménagement du territoire dans son ensemble qui a besoin d’être totalement repensé, ainsi que les modes de vie en Région Parisienne.

Compte tenu de la récente pandémie de COVID 19 peut-on encore considérer qu’un transport en commun doit être bondé et rentable ? Ne faut-il pas aménager les horaires et les lieux de travail pour éviter que tout le monde effectue ses trajets domicile/ travail en même temps ? Les transports en communs du Grand Paris Express qui doivent assurer les liaisons vers les aéroports sont-ils toujours aussi indispensables compte tenu des évolutions de trafic aérien à prévoir à la baisse ? A quel pourcentage de personnes de la Région Parisienne ces transports seront-ils utiles ?

Et qu’en est-il de la prise en compte de la fin programmée des véhicules à moteurs thermiques entre 2030 et 2040 ? Qui aura les moyens de se déplacer en véhicule électrique ?

Au final, le TCSP sera peut-être une voie dédiée à des bus électriques autonomes ! Mais c’est maintenant qu’il faut inventer la vie qui va avec !

 

Edito Décembre 2020

Nous espérons qu’un peu de magie de Noël a éclairé votre quotidien et vous a permis de passer quelques bons moments avec vos proches.

Déjà 2020 touche à sa fin. Nos activités ont été perturbées mais nous avons poursuivi notre veille au service de l’amélioration du cadre de vie.

Circulation Voie des Postes

Lors de l’édito de Novembre , nous proposions un sondage sur la circulation actuelle et une proposition de modification du sens de circulation :

93% des personnes qui ont répondu pensent que la circulation Voie des Postes des compliquée.

Concernant la solution de sens unique que nous proposions, 43% sont pour, 57% contre.

Voici les suggestions que nous avons reçues :

  • Orienter la circulation vers les grands axes (RN20, A6, A10), plutôt que de surcharger le sentier des poiriers des cloches ou la voie des postes…
  • Louer l’ensemble des parkings des nouveaux immeubles
  • Le problème est identique au carrefour Ruelle des Néfliers/ voie des Postes où il est impossible de se croiser, donc peut être réfléchir là aussi à une autre organisation du sens de la circulation
  • Limiter la circulation sur la RN20
  • Pour se rendre dans le centre ville il faut aller jusqu’à rue du Grand noyer dans ce cas. A minima il faut dans ce cas une piste cyclable rue des Cailleboudes à contresens si on veut privilégier le vélo.
  • Que notre municipalité se penche vraiment sur le problème de la circulation du stationnement et des piétons
  • Avec le plan proposé, la circulation rue du Grand Noyer sera encore plus difficile (embouteillages avec cars et camions). Il serait peut être judicieux de mettre la rue du Grand Noyer en sens unique dans le sens de la montée, à partir du sentier du Poirier de Cloches jusqu’à la rue des Joncs Marins. La Voie des Postes serait en sens unique à partir du carrefour du 8 Mai jusqu’à l’intersection avec le sentier du poirier de cloches. Celui-ci serait aussi en sens unique, jusqu’à l’intersection avec la rue du Grand Noyer

Voici la réponse que nous avons reçue de Mr le Maire :

Madame, Monsieur,

J’ai pris connaissance de votre proposition de révision du plan de circulation dans les secteur voie des Postes/ rue des Cailleboudes / rue du Grand Noyer.

Pour ce qui concerne le sens interdit “sauf aux riverains”, celui-ci a été implanté consécutivement à la demande des riverains de la voie des Postes et n’émane pas des élus.

Par ailleurs, vos suggestions sont intéressantes mais ne sont pas réalisables en l’immédiat pour plusieurs raisons :

  • la présence d’une entreprise, dont les camions doivent pouvoir circuler vers la rue des Cailleboudes de manière à rentrer dans l’établissement
  • l’intersection de la rue du Grand Noyer et du sentier du Poirier de cloches ne permet pas aux véhicules provenant de la rue du Grand Noyer de tourner à gauche. La propriété située à l’angle est par ailleurs marquée comme emplacement réservé au PLU. 
    A terme la ville utilisera son droit de préemption pour améliorer cette intersection.

A suivre, donc. 

Convention citoyenne

Nous  avons évoqué plusieurs fois au cours de l’année les 149 propositions pour le climat faites par la convention citoyenne.

D’après le site de suivi sansfiltre.les150.fr, une seule mesure sur les 149 proposées est en cours d’acceptation : “Prendre immédiatement des mesures coercitives pour stopper les aménagements de zones commerciales périurbaines très consommatrices d’espace”.

Trois mesures ont été rejetées :
– Modification du préambule de la constitution pour y introduire la préservation de l’environnement en tant que patrimoine commun de l’humanité
-Réduire la vitesse sur autoroute à 110 km/h
-Les entreprises qui distribuent plus de 10 Millions d’Euros de dividendes annuels participeront chaque année à l’effort de financement à hauteur de 4%, et celles dont les dividendes sont inférieurs ou égaux à 10 millions d’Euros participeront à hauteur de 2%

Voir aussi cet article du journal Le Monde : Barbara Pompili dévoile des premiers arbitrages du projet de loi issu de la convention citoyenne pour le climat 

Dans le secteur des transports, le gouvernement veut « interdire les vols domestiques s’il y a une alternative possible en train en moins de 2 h 30 », poursuit la ministre, reconnaissant que les 150 citoyens membres de la convention demandaient plus, avec « l’interdiction des trajets en avion à partir de 4 heures ».

(…)

Concernant l’alimentation, « nous allons expérimenter la possibilité d’avoir un choix de menus végétariens quotidiens dans les cantines scolaires », fait savoir Mme Pompili. La convention pour le climat visait, elle, un choix végétarien quotidien en restauration collective, sans évoquer d’expérimentation.

Une fiscalité serait par ailleurs mise en place sur les engrais azotés à partir de 2024, si les agriculteurs ne respectent pas « une trajectoire de réduction des émissions », fait aussi savoir la ministre.

Alors que les 150 membres de la convention citoyenne pour le climat défendent l’interdiction de la publicité des produits les plus émetteurs de gaz à effet de serre, le gouvernement a « acté l’interdiction des publicités sur les énergies fossiles, car elles ont un impact majeur sur le climat, la fin des avions publicitaires ». Il a aussi décidé d’expérimenter le « “oui pub” à la place du “stop pub” sur les boîtes aux lettres ».

Nous ne serons donc pas débarrassés tout de suite des Vols Paris-Nice ou Paris-Toulouse qu’on entend au-dessus de La Ville-du-Bois : aucune alternative en train ne prendra moins de 2h30. Ce seraient plutôt des trains de nuit qui pourraient être intéressants.

Difficile de savoir si le débat aurait été plus médiatisé s’il n’y avait pas eu le crise COVID, et pourtant cette crise devrait justement être l’occasion de revoir nos modes de vie afin de modifier leurs impacts sur le climat.

Il est vraiment temps de tourner la page 2020 !

 

Edito Novembre 2020

Nous sommes de nouveau confinés, mais que cela ne nous empêche pas de continuer à nous préoccuper de l’intérêt commun.

Circulation Voie des Postes

Nous vous proposons aujourd’hui de dialoguer au sujet de la circulation dans le secteur de la Voie des Postes. 

Avec la construction des nouveaux immeubles, et l’augmentation de population qui l’accompagne, beaucoup de véhicules stationnent Voie des Postes et dans les rues avoisinantes. Si bien que la circulation à double sens est difficile particulièrement sur la portion entre le Sentier du Poirier Cloche et l’avenue des Joncs Marins.

 

 

Aussi proposons-nous de mettre cette portion à sens unique, ainsi que le sentier du Poirier Cloche :

Reste à vérifier que les véhicules de secours ou de ramassage des ordures peuvent toujours circuler dans cette configuration.

Et bien sûr le mieux serait d’avoir l’avis des riverains de ce secteur.

Donnez votre avis via le sondage en lien ici.

Consultation Plan National Santé Environnement 

Le ministère de la transition écologique a mis en ligne fin octobre une plate-forme de consultation qui décrit 19 actions regroupées selon  4 objectifs prioritaires :
-  S’informer l’état de son environnement et les bons gestes à adopter ;
-  Réduire les expositions environnementales affectant notre santé ;
-  Démultiplier les actions concrètes menées dans les territoires, en mobilisant les collectivités ;
-  Mieux connaître les expositions et les effets de l’environnement sur la santé des populations, en développant des efforts de recherche en santé-environnement

Voici les commentaires postés par l’association Bien Vivre à La Ville-du-Bois :

 

N’hésitez pas à participer et poster vos commentaires ici, la consultation est ouverte jusqu’au 10 Décembre 2020.